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Jacques Cheminade "piaffe" de débattre avec les autres candidats

Mardi 3 avril, Jacques Cheminade a visité la centrale nucléaire de Fessenheim. C'était l'une des premières sorties de terrain du candidat qui jusqu'ici parlait surtout dans les médias. Il est impatient de débattre avec les autres concurrents.
Article rédigé par Daïc Audouit
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Cheminade, un homme dans le vent (Frederick Florin (AFP))

Mardi 3 avril, Jacques Cheminade a visité la centrale nucléaire de Fessenheim. C'était l'une des premières sorties de terrain du candidat qui jusqu'ici parlait surtout dans les médias. Il est impatient de débattre avec les autres concurrents.

Jacques Cheminade attend avec impatience le débat éventuel entre les candidats à l'élection présidentielle. Son entrée dans la cour des grands.

"J'attends le débat, je piaffe de les avoir devant moi", a-t-il dit lors d'une conférence de presse organisée en marge de sa visite de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin).

"On va dire: Il ne représente rien, ça ne sert à rien de débattre avec lui, on va perdre des voix, pensent-ils s'ils débattent avec ce chétif insecte. Ils s'apercevront que je ne suis pas un chétif insecte", a ajouté Jacques Cheminade, crédité de moins de 0,5% des intentions de vote.

"Ce qui manque ce sont ces affrontements comme on peut avoir, dans des conditions certes un peu ridicules, aux Etats-Unis où ils sont là comme des échassiers derrière leurs micros. Mais il faut un échange, vif, même brutal et honnête", a expliqué le candidat du parti "Solidarité et Progrès".

Il a profité de cette visite pour défendre l'énergie nucléaire estimant que Fessenheim pouvait fonctionner 60 ans.

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