Face à 300 élus franciliens et responsables d'associations lundi 4 février, Emmanuel Macron a peut-être marqué des points. Devant la fronde sur la suppression des contrats aidés, il a esquissé un mea culpa. Il s'est dit prêt à trouver de nouveaux dispositifs pour les remplacer, par exemple des emplois francs associatifs.6 heures de discussionsAutres sujets abordés dans ce grand débat national à Evry-Courcouronnes (Essonne), le logement, la rénovation urbaine, l'accès à l'emploi et le désenclavement nécessaire des banlieues. Tous les intervenants sans exception ont regretté l'enterrement du plan Borloo pour les banlieues.Pendant six heures, Emmanuel Macron a écouté et répondu comme à son habitude. Prochain déplacement prévu jeudi 7 février à Autun (Saône-et-Loire) avec des jeunes du Morvan et des élus.