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Duel Fillon/Copé: retour sur six mois de campagne

Après un début de campagne plutôt cordial, les deux candidats ne se sont pas épargnés dans les dernières semaines avant le scrutin.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Franceinfo (Franceinfo)
  • La déclaration de candidature des favoris

François Fillon officialise en
juin dernier son envie sur twitter
. Quand Jean-François Copé se lance dans la bataille
au cours d'un meeting politique à la fin de l'été.

- Des faux départs

Nathalie
Kosciusko-Morizet, Bruno Le Maire et Xavier Bertrand auraient bien voulu
prendre le départ de la course à l'UMP. Faute de parrainages, les
3 candidats jettent l'éponge.

- La droitisation incarnée par Jean-François Copé

Dans son
livre "Manifeste pour une droite décomplexée"Jean-François Copé parle d'un "racisme anti-blanc" .
François Fillon, lui, ne récuse pas mais préfère "apporter"  des solutions.

- La polémique du "pain au chocolat"

En octobre
dernier, en meeting à Draguignan, Jean-François Copé le secrétaire général de
l'UMP affirme que des jeunes se sont fait arracher leur goûter au motif qu'il
ne fallait pas manger en journée pendant le ramadan. C'est "l'affaire du pain au
chocolat"
.

- Le débat télévisé

Le 25 octobre
dernier, les deux candidats à la présidence de l'UMP débattent sur le plateau
de France2. Projet contre projet. Objectif : se
différencier à tout prix de son rival, et mettre en relief ses différences. Un
exercice compliqué.

- La santé fragile de François Fillon

Confronté à
une campagne éprouvante, François Fillon enchaine les pépins de santé. Sa cheville le fait souffrir.
Il est incommodé par des calculs rénaux
. L'ex premier ministre
est contraint d'annuler une étape de son tour de France.

- L'ombre de Nicolas Sarkozy

Alors que
Nicolas Sarkozy commence sa nouvelle vie de conférencier à travers le monde, les militants UMP se rappellent
de plus en plus au bon souvenir de l'ex président de la République
,
certains se disent "orphelins" .

- Dernières salves avant le vote

J ean François Copé raille "l'opposition en
pantoufles"
 de
son adversaire. François Fillon dénonce lui "les virages à droite"
 :"Certains pensent que l'on
regagnera la France en prenant tous les virages à droite. (...) Je ne découpe
pas la France en tranche. Je la prends comme un bloc"
.

En parlant de son adversaire. François Fillon dénonce lui "les virages à droite " :"Certains pensent que l'on regagnera la France en prenant tous les virages à droite. (...) Je ne découpe pas la France en tranche. Je la prends comme un bloc ".

 

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