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Dominique de Villepin a été reçu jeudi à l'Elysée par le chef de l'Etat pour parler de la présidence française du G20

"Nous avons eu avec le président de la République un dialogue direct, franc, républicain", a indiqué M. de Villepin.Mais l'ex Premier ministre, qui est resté un peu plus d'une heure et demie au palais présidentiel, n'a pas dit un mot du G20 dans la rapide déclaration qu'il a faite à la presse.
Article rédigé par France2.fr avec AFP
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Dominique de Villepin quitte l'Elysée après sa rencontre avec Nicolas Sarkozy, le 24 février 2011. (AFP - Patrick Kovarik)

"Nous avons eu avec le président de la République un dialogue direct, franc, républicain", a indiqué M. de Villepin.

Mais l'ex Premier ministre, qui est resté un peu plus d'une heure et demie au palais présidentiel, n'a pas dit un mot du G20 dans la rapide déclaration qu'il a faite à la presse.

"J'ai eu le souci d'alerter le président de la République sur les grands enjeux et une situation grave sur le plan intérieur et sur le plan international, et j'ai eu le souci de rappeler ce que me paraissent être les grandes exigences face aux difficultés que nous traversons", a-t-il ajouté.

Le Président de République solidaire (RS) dit avoir notamment mis en garde le chef de l'Etat contre une "recherche de boucs émissaires" à la faveur du futur débat sur l'islam et rappelé que, sur le plan international, la France devait "être en initiative, en proposition".

Avec la validation du chef de l'Etat, l'UMP s'apprête en effet à lancer début avril, deux nouveaux sujets de discussion: l'application des décisions de justice et l'exercice du culte dans la République laïque.

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