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Affaire Bygmalion : "Toute faiblesse devient une faute" (Hollande)

En marge du sommet européen de Bruxelles, François Hollande a brièvement évoqué l'affaire Bygmalion qui secoue l'UMP. Face à l'extrême droite, "toute faiblesse devient une faute", a-t-il expliqué.
Article rédigé par Baptiste Schweitzer
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (A Bruxelles, François Hollande a évoqué l'affaire Bygmalion © REUTERS)

Il ne s'était pas encore exprimé sur l'affaire Bygmalion qui secoue l'UMP et qui a entraîné la démission de Jean-François Copé de la présidence du parti ce mardi. Depuis Bruxelles, François Hollande a lancé un avertissement à tous les chefs de partis politiques français.

À l'issue d'une rencontre avec ses homologues européens, le chef de l'État français a appelé les partis à être exemplaires, en raison notamment de la montée de l'extrême droite lors des dernières européennes. "Quand il y a une extrême droite qui peut tout se permettre, toute faiblesse devient une faute ", a expliqué le président de la République ajoutant :

27.05.2014 hollande sur bygmalion/ transparence publique

François Hollande a par ailleurs expliqué – en référence notamment à l'affaire Cahuzac – qu'il avait "depuis deux ans mis les questions de transparence au cœur des décisions publiques ". "Quand il y a eu un certain nombre d'affaires, il n'y a pas eu de temps perdu pour les régler", a-t-il poursuivi.

 

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