Donald Trump est venu sermonner ses alliés, et d'abord sa principale souffre-douleur, Angela Merkel. Première salve tirée par Donald Trump mercredi 11 juillet face à un secrétaire général de l'Otan (Organisation du traité de l'Atlantique nord) pétrifié. Des contradictions affichées, et une réponse feutrée de la chancelière allemande, accusée aussi par Washington d'être à la traîne en matière de dépenses militaires.Pas de rupture entre les États-Unis et l'EuropePremier duel à fleurets mouchetés et rencontre un peu froide entre les deux protagonistes. Officiellement, pourtant, les relations sont très bonnes. Atmosphère plus détendue ensuite, avec Emmanuel Macron. Quarante minutes d'entretien, une large convergence de vues sur l'augmentation des dépenses militaires. De son côté, en dépit des tensions, Donald Trump affirme qu'il n'y a pas de rupture entre les États-Unis et l'Europe.