Cet article date de plus de cinq ans.

Manifestation anti-Trump : la police craint des débordements

Publié Mis à jour
Durée de la vidéo : 1 min
Manifestation anti-Trump : la police craint des débordements
Manifestation anti-Trump : la police craint des débordements Manifestation anti-Trump : la police craint des débordements (France 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions
France 2

La venue de Donald Trump à Paris pour les commémorations du centenaire de la fin de la Grande Guerre fait réagir. Une manifestation à son encontre est organisée à Paris dimanche 11 novembre. En duplex, le journaliste Hakim Abdelkhalek nous en dit davantage.

La présence de Donald Trump en France dimanche 11 novembre pour les commémorations du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale ne plait pas à tout le monde. Une manifestation contre lui se déroule place de la République, à Paris, dans l'après-midi. "Plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de manifestants sont attendus ici à partir de 14 heures place de la République pour manifester contre la présence de Donald Trump. Une manifestation parfaitement légale, autorisée par la préfecture de police de Paris, mais qui craint notamment des débordements", explique le journaliste Hakim Abdelkhalek en duplex depuis la place de la République.

4 000 policiers et gendarmes pour encadrer les manifestants

"Selon une note interne de la préfecture de police de Paris, plusieurs centaines de manifestants radicaux, des black blocs, pourraient converger vers la place de la République. Les black blocs, ce sont ces militants radicaux habillés en noir, encagoulés, et qui s'en prennent généralement aux forces de l'ordre, aux commerces, au capitalisme en général. La crainte des autorités, c'est qu'ils viennent ici pour casser et qu'ils se rendent ensuite à l'Élysée ou à l'ambassade américaine. Aujourd'hui, 10 000 membres des forces de l'ordre sont mobilisés, dont 4 000 policiers et gendarmes uniquement pour éviter ce type de débordements", conclut-il.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.