Le président américain devrait renoncer à se retirer de l'accord de Paris, la COP 21.
Donald Trump était pourtant catégorique durant sa campagne : lui président, le sort de l'accord de Paris sera scellé. Aujourd'hui, le président pourrait bien changer d'avis. Une dizaine de grands groupes industriels, tels que le grand groupe Exxon, le presse de rester dans l'accord. Même le ministre de l'Énergie Rick Perry, pourtant climatosceptique, prend position pour le maintien.
Un président obligé de se convertir au compromis
Même volte-face sur le traité nord-américain, l'ALENA, qu'il conspuait à longueur de meetings. Selon lui, ce traité de libre-échange entre les États-Unis, le Mexique était à l'entendre : un désastre pour l'économie. Devant les protestations du Mexique et du Canada, le chef d'État change de pied et décide de le renégocier. 100 jours après son entrée en fonction, Donald Trump est en train de s'assagir. Face aux contraintes du pouvoir, il se convertit au compromis.
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