Etats-Unis : le parc de Yellowstone, bijou naturel préservé, captive les foules

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Aux États-Unis, le parc naturel de Yellowstone attire chaque année des milliers de visiteurs. Son écosystème unique et ses paysages à couper le souffle en font l'un des sites les plus prisés au monde, par les touristes comme les scientifiques.
États-Unis : le parc de Yellowstone, bijou naturel préservé, captive les foules Aux États-Unis, le parc naturel de Yellowstone attire chaque année des milliers de visiteurs. Son écosystème unique et ses paysages à couper le souffle en font l'un des sites les plus prisés au monde, par les touristes comme les scientifiques. (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Guttin, T. Donzel, K. Sullivan Den Bergh
France Télévisions
Son écosystème unique et ses paysages à couper le souffle en font l'un des sites les plus prisés au monde, par les touristes comme les scientifiques.

Plonger dans les immenses plaines du parc de Yellowstone, aux Etats-Unis, c'est faire l'expérience de la vie sauvage. Celle où les animaux peuplent la Terre en liberté, et où les paysages ont été façonnés par les éléments et le temps. Dans ces lieux intacts, la croûte terrestre est si fine que les phénomènes géothermiques peuvent être observés à l'œil nu. Un arc-en-ciel de couleurs qui fascine les visiteurs.

Un lieu prisé des touristes et des microbiologistes

Forgé à la suite d'une éruption volcanique, le parc possède plus de 10 000 sources d'eau chaude. Il regroupe près de la moitié des geysers mondiaux. Un phénomène que des centaines de visiteurs viennent observer. Un jet d'eau bouillonnante venue des profondeurs de la Terre, propulsé entre 32 et 54 mètres de hauteur. Le lieu renferme également une autre source au nom mystérieux : le Grand Prismatic. Un phénomène exceptionnel qui attire les microbiologistes du monde entier. "Des trillions de cellules grandissent ensemble dans cette communauté microbienne (...) cela permet d'augmenter notre connaissance sur ce que les organismes vivants peuvent tolérer comme températures", explique Dana Skorupa, microbiologiste à l'Université du Montana.

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