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Un an après l’opération Sangaris, la Centrafrique loin d'être en paix

En décembre 2013, Paris déclenchait l’opération Sangaris en Centrafrique afin d'appuyer la force africaine chargée de ramener la paix dans un pays soumis aux violences. La situation reste tendue et fragile, notamment dans la région centrale. Un reportage de Vanessa Descouraux.
Article rédigé par Vanessa Descouraux
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
  (Un an après l'envoi de la force Sangaris en Centrafrique (ici à Dekoa), une situation fragile © Vanessa Descouraux/Radio France)

La France a lancé en décembre 2013 l’opération Sangaris en Centrafrique. Un appui de 2.000 soldats à la force africaine Misca destinée à stopper des violences inter-religieuses. Le déferlement de violences a souvent été résumé à un affrontement entre milices chrétiennes et musulmanes, mais la réalité du terrain semble bien plus complexe.

Une situation fragile et complexe

Un an après le déploiement de Sangaris, la situation reste volatile et fragile, notamment dans le centre du pays. Reportage de Vanessa Descouraux à Dekoa, une petite ville perdue dans la brousse, à sept heures de route de la capitale Bangui. Puis à Sibut, à 70 kms de Dekoa. Deux situations différentes qui montrent la complexité d’un conflit, plus ethnique que religieux.

 

La Centrafrique n’est plus en guerre, mais elle est loin d'être en paix : le reportage de Vanessa Descouraux

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