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LA PHOTO. Un réfugié syrien porte la flamme olympique dans un camp en Grèce

Grand sportif syrien, handicapé de guerre et réfugié en Grèce, Ibrahim al-Hussein a assuré le relais de la flamme olympique des JO-2016 dans un camp de migrants d'Athènes.Vêtu du maillot officiel blanc à manches jaunes Rio2016, il a allumé sa torche à celle du président du Comité olympique hellénique Spyros Kapralos, conformément à la promesse faite par Thomas Bach le président du CIO en personne.

Alain Chémali

France Télévisions

Publié le 27/04/2016 12:00

Temps de lecture : 1min

Agé de 27 ans et originaire de Deir Ezzor, où il était électricien, Ibrahim al-Hussein a perdu un pied dans un bombardement. Une catastrophe pour le nageur de compétition et le judoka qu'il était également au pays. Réfugié à Athènes, où il travaille comme serveur dans un restaurant et loue un appartement, il était le symbole idéal pour relayer la flamme olympique dans le camp d'Eléonas. «C'est un honneur pour moi, c'est formidable pour moi et pour tous les réfugiés», a déclaré cet homme de volonté et de courage. Il continue à nager dans des temps très compétitifs et joue désormais également au basket, en fauteuil roulant. (Giorgos Georgiou/NurPhoto/AFP)

Ibrahim al-Hussein, réfugié syrien portant la flamme olympique des JO-2016. Agé de 27 ans et originaire de Deir Ezzor, où il était électricien, Ibrahim al-Hussein a perdu un pied dans un bombardement. Une catastrophe pour le nageur de compétition et le judoka qu'il était également au pays. Réfugié à Athènes, où il travaille comme serveur dans un restaurant et loue un appartement, il était le symbole idéal pour relayer la flamme olympique dans le camp d'Eléonas. «C'est un honneur pour moi, c'est formidable pour moi et pour tous les réfugiés», a déclaré cet homme de volonté et de courage. Il continue à nager dans des temps très compétitifs et joue désormais également au basket, en fauteuil roulant.