Notre journaliste Diane Schlienger a pu se rendre au cœur de l’épicentre de l’explosion à Beyrouth. Elle était en direct pour le 20H jeudi 6 aout : "Ici, à l’épicentre de l’explosion, 48 heures après le drame, il y a toujours une forte odeur âcre. C’est ici qu’il y avait l’entrepôt rempli de nitrate d’ammonium et à la place, regardez, il y a cet immense cratère de plusieurs mètres de profondeur que la mer a rempli. Tout autour de moi, évidemment, il y a des dizaines, des centaines de tonnes de gravats de maïs puisque ce silo s’est effondré." À la recherche de survivants"Et toutes ces tonnes de gravats rendent le travail des sauveteurs très compliqué. Ils sont des centaines à s’activer ici depuis la nuit dernière. Pour l’instant, en vain. Ils recherchent des survivants, mais leur tâche est très compliquée", précise Diane Schlienger.