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L'état d'urgence décrété samedi dans la deuxième ville de Nouvelle-Zélande a été prolongé lundi et l'armée a été appelée

Selon les autorités, de fortes répliques étaient enregistrées lundi, deux jours après le séisme de magnitude 7 qui a causé des dégâts estimés à 2 milliards de dollars (1,12 milliard d'euros) et fait au moins deux blessés graves.Christchurch, située au sud du pays, est à l'arrêt depuis le tremblement de terre qui a fait de gros dégâts matériels.
Article rédigé par France2.fr avec agences
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Conséquences du séisme dans l'une des rues de Christchurch, le 4 septembre 2010. (AFP Christchurch Press)

Selon les autorités, de fortes répliques étaient enregistrées lundi, deux jours après le séisme de magnitude 7 qui a causé des dégâts estimés à 2 milliards de dollars (1,12 milliard d'euros) et fait au moins deux blessés graves.

Christchurch, située au sud du pays, est à l'arrêt depuis le tremblement de terre qui a fait de gros dégâts matériels.

Dans cette région où des routes sont éventrées, des bâtiments effondrés, et des réseaux d'irrigation et d'eau potable détruits, l'état d'urgence a été prolongé jusqu'à mercredi. Habituellement très animé en début de semaine, le centre de Christchurch était plongé dans le silence lundi matin, les habitants ayant été invités à rester chez eux.

Un couvre-feu, à la tombée de la nuit, a également été décrété depuis samedi après des premiers cas de pillage. L'armée a été appelée lundi en renfort pour prendre la relève des policiers qui surveillent le centre ville de Christchurch dont l'accès est en partie interdit en raison d'immeubles qui menacent de s'effondrer et des craintes de pillage.

Le bilan du séisme de samedi (survenu vendredi à 18h35 heure de Paris) est maintenu à deux blessés graves à Christchurch, deux hommes âgés d'une cinquantaine d'années, l'un blessé par la chute d'une cheminée et l'autre par du verre brisé.

Environ 200 personnes dont les maisons ont été déclarées inhabitables ont passé la nuit dans des refuges.

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