Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron se rendra sur place "dans les prochaines semaines", selon l'Elysée

Le président français s'est entretenu dimanche soir avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky.
Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1 min
Les présidents français et ukrainien, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky, le 16 février 2024, à l'Elysée. (THIBAULT CAMUS / AFP)

Emmanuel Macron devrait se rendre en Ukraine "dans les prochaines semaines", a rapporté l'Elysée dimanche 10 mars à l'issue d'un entretien téléphonique avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Le président de la République avait, dans un premier temps, promis de se rendre en Ukraine en février, avant de faire savoir que cette visite aurait lieu avant la mi-mars.

Lors de leur échange, dimanche, les deux chefs d'Etat sont "convenus de rester en étroit contact, notamment concernant la visite du président de la République en Ukraine, qui devrait intervenir dans les prochaines semaines", détaille un communiqué de la présidence française.

Dans la foulée de la réunion de suivi consacrée au soutien à l'Ukraine qui s'est tenue jeudi à Paris, Emmanuel Macron a réaffirmé, lors de cet entretien téléphonique, "sa volonté de poursuivre les efforts pour mettre rapidement en place la coalition sur les frappes dans la profondeur, ainsi que le soutien à l'initiative tchèque sur les munitions", selon l'Elysée. Le président français "a aussi redit la nécessité de poursuivre les travaux entrepris dans le cadre de la coalition 'artillerie pour l'Ukraine', mise en place sous présidence américaine et française", selon la même source.

"Les deux dirigeants ont également redit leur souhait d'avancer dans les cinq domaines d'action identifiés lors de la Conférence de soutien à l'Ukraine, à savoir la cyberdéfense, le déminage, la maintenance et la coproduction d'armements en Ukraine, le soutien aux partenaires du voisinage et la sécurisation des frontières", ajoute l'Elysée.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.