Retrouvez ici l'intégralité de notre live #UKRAINE
23h50 : Le président russe Vladimir Poutine dispose de "l'espace politique" nécessaire pour mettre fin à son invasion de l'Ukraine, en partie grâce à la censure instaurée en Russie, a déclaré le Premier ministre britannique Boris Johnson.
23h12 : "Il n'y aura pas de pénurie de gaz dans les foyers polonais", a écrit sur Twitter la ministre polonaise du Climat, Anna Moskwa, peu après l'annonce de la coupure de gaz par Gazprom à partir de demain. "Depuis le premier jour de la guerre, nous avons déclaré que nous étions prêts à une indépendance totale vis-à-vis des matières premières russes", a-t-elle ajouté.
22h40 : Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie d'avoir placé le monde "au bord de la catastrophe" par son occupation, au début de son invasion de l'Ukraine, de la centrale de Tchernobyl, théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire.
22h24 : Les Etats-Unis ont mis en garde contre les tentatives d'"escalade des tensions" après une série d'explosions dans la région séparatiste moldave prorusse de Transdniestrie, frontalière de l'Ukraine.
21h33 : Bonsoir @mimix. Oui, le groupe russe Gazprom arrêtera à partir de demain les livraisons du gaz à la Pologne, a annoncé l'entreprise publique de distribution de gaz polonaise, précisant que la Pologne était préparée à obtenir le gaz manquant d'autres sources.
21h33 : Bonsoir FI. Gazprom arrête les livraisons de gaz à la Pologne ?
21h19 : Faut-il s'alarmer du risque de troisième guerre mondiale brandi par la Russie ? Le chef de la diplomatie russe a estimé lundi que ce danger était "réel". Franceinfo fait le point sur ce qui constituerait un conflit mondial.
20h57 : Le président russe Vladimir Poutine a affirmé au chef des Nations unies Antonio Guterres croire toujours en une issue positive des négociations avec l'Ukraine, malgré la poursuite des combats entre les deux pays. "Malgré tout, les négociations se poursuivent (...) J'espère que nous arriverons à un résultat positif", a-t-il déclaré.
20h47 : Le conflit en Ukraine pourrait-il s'étendre ? La Moldavie a annoncé de nouvelles mesures pour renforcer sa sécurité après une série d'explosions survenues dans la région séparatiste de Transnistrie, soutenue par Moscou. La France a annoncé soutient la Moldavie face "aux risques de déstabilisation", a réagi le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian.
20h06 : "Nous n'avons pas vu de signe jusqu'ici que le président Poutine est sérieux à propos de négociations significatives."
Les Etats-Unis soutiendront les autorités ukrainiennes dans leurs efforts diplomatiques pour négocier un accord de paix, a ajouté le chef de la diplomatie américaine.
19h39 : Les Etats-Unis sont prêts à "remuer ciel et terre" pour faire gagner l'Ukraine contre la Russie, a affirmé le chef du Pentagone lors d'une réunion avec ses homologues alliés en Allemagne.
18h35 : La mairie de Kiev a commencé la démolition d'un monument historique d'époque soviétique célébrant l'amitié entre l'Ukraine et la Russie, après l'invasion du pays par Moscou lancée il y a deux mois.

(SERGII KHARCHENKO / NURPHOTO)
16h46 : #Tchernobyl l'AIEA que je viens d'avoir par téléphone dément la dépêche #afp faisant état de la déclaration de son directeur concernant un niveau "anormal" de radiations. Dans mon interview j'entends au contraire "normal". J'étais sur place @afpfr #ukraine @iaeaorg
16h46 : Le niveau de radioactivité Tchernobyl n'est pas "anormal" mais "normal". Une erreur de transcription par l'AFP des déclarations du chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, est à l'origine de cette méprise, comme le signale sur Twitter le correspondant de France Télévisions au Royaume-Uni. L'agence de presse va publier un rectificatif.
14h56 : Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, ont tenu une conférence de presse commune à Moscou, exposant leurs deux visions différentes de la guerre en Ukraine. Voici un extrait de leurs interventions :
14h31 : De son côté, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé à enquêter sur de "possibles crimes de guerre" en Ukraine et invité Kiev et Moscou à travailler ensemble avec l'ONU pour ouvrir des couloirs humanitaires.
14h21 : La Russie se dit "prête à coopérer" avec les Nations unies pour "soulager" les populations civiles en Ukraine, a assuré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, lors d'une conférence de presse avec le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres à Moscou.
13h38 : Il est l'heure du petit café après le déjeuner, voici un peu de lecture :
Jean-Luc Mélenchon a appelé les Français à "l'élire Premier ministre". Dimanche, le RN a aussi présenté l'échéance de juin comme un "troisième tour" après son échec au second. Le scénario de leur victoire demande un peu d'imagination. Mais il interroge : à Matignon, Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen pourraient-ils appliquer leur programme ? Louis Boy et Pierre Angrand ont interrogé un spécialiste du droit constitutionnel.
Emmanuel Macron est-il le président des riches ? En s'appuyant sur le niveau de vie médian par commune fourni par l'Insee, franceinfo a calculé les résultats du second tour pour les communes les plus riches et celles les plus pauvres.
Dans une partie de l’Ukraine, la langue la plus couramment parlée est le russe. Mais pour de nombreux habitants, la guerre ravive un élan patriotique qui passe aussi par une réappropriation de la langue ukrainienne. Illustration à Dnipro, en plein cœur du pays.
12h56 : Les industriels qui feront cette demande de dérogation pourront utiliser par exemple de l'huile de colza, a détaillé Bercy à l'issue d'une concertation avec industriels et associations de consommateurs. Dans le cas notamment de l'ajout de produits allergènes, l'indication d'un changement de recettes doit en revanche être immédiat.
12h51 : L'Etat a autorisé, pour six mois maximum, les fabricants de margarine, chips, sauces, biscuits ou plats en sauce à remplacer l'huile de tournesol dans leurs recettes sans changer leur emballage, en raison de difficultés d'approvisionnement du fait de la guerre en Ukraine.
12h17 : Le nombre de blindés, spécialisés dans la défense anti-aérienne, n'a pas été précisé. Ces véhicules proviendront des stocks de l'industrie allemande de la défense et non des réserves, limitées, de l'armée allemande.
12h16 : L'Allemagne va autoriser la livraison à l'Ukraine de blindés de type "Guepard", a annoncé la ministre de la Défense. Cela constitue un tournant majeur dans la politique prudente suivie jusqu'ici par Berlin dans son soutien militaire à Kiev.
11h08 : L'ONU double son appel d'urgence pour apporter de l'aide humanitaire en Ukraine, envahie par la Russie, portant le total à 2,25 milliards de dollars (2,11 milliards d'euros). L'appel a également été prolongé de trois à six mois. "Nous assistons à ce qui pourrait devenir la plus grave crise de réfugiés en Europe de ce siècle", avait justifié le Haut-Commissaire de l'ONU chargé des réfugiés, en mars.
09h37 : "Il fuyait en voiture avec sa mère et sa petite-sœur. Les Russes leur ont tiré dessus. Ils sont sortis. Vania leur a crié : 'Courez, je vous rattrape.' Sa mère a tourné la tête et elle a vu son fils s'effondrer dans un champ. Son corps est resté là quatre jours."
Havlyna s'est rendue à Boutcha, en Ukraine, pour demander le certificat de décès de son petit-fils, Vania, tué par l'armée russe. Il avait 15 ans. Franceinfo l'a rencontrée.
08h40 : "Parler en ukrainien, c'est une toute petite partie de ce que je peux faire pour renforcer mon pays."
Alors que le russe est couramment parlé dans une partie de l'Ukraine, la guerre ravive un élan patriotique... qui passe aussi par une réappropriation de la langue ukrainienne. Franceinfo a rencontré des russophones ukrainiens.