Cet article date de plus de neuf ans.

Charlie Hebdo : "Vive la France !" (Barack Obama)

Le président des Etats-Unis s’est rendu jeudi soir à l’ambassade de France à Washington pour écrire "Vive la France !" dans le livre de condoléances, ouvert après l’attentat mercredi contre Charlie Hebdo.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Le président américain a signé jeudi le recueil de condoléances ouvert à l'ambassade de France à Washington © REUTERS/Jim Bourg)

L’hommage aux victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo mercredi à Paris dépasse les frontières. Le président américain a tenu à marquer sa solidarité avec le peuple français en se rendant jeudi soir à l’ambassade de France à Washington. Barack Obama a signé le recueil de condoléances, ouvert après l’attentat mercredi à Paris contre le journal Charlie Hebdo , qui a fait douze morts et onze blessés.

Liberté et solidarité

Dans son message manuscrit adressé à la France, le président Barack Obama a évoqué la solidarité et la liberté avant de conclure "Vive la France !" 

"Au nom de tous les Américains, je fais part aux Français de notre solidarité après cette terrible attaque terroriste à Paris. En tant qu’alliés à travers les siècles, nous sommes unis avec nos frères français pour nous assurer que la justice soit faite. Nous avançons ensemble convaincus que la terreur ne vaincra pas la liberté et les idéaux qui sont les nôtres, les idéaux qui illuminent le monde. Vive la France ! "

La visite du président des Etats-Unis à l'ambassade de France : le reportage à Washington de Frédéric Carbonne

A l'issue de cette visite, l'ambassadeur de France aux Etats-Unis, Gérard Araud, a commenté "un geste très, très fort, exceptionnel"  du président Barack Obama".

La veille, un premier geste fort était parvenu des Etats-Unis avec une intervention du secrétaire d’Etat, John Kerry. Il s’était adressé en français pour "dire aux Parisiens et à tous les Français, que tous les américains se tiennent à leurs côtés ". 

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.