Cet article date de plus de dix ans.
Recevez l'essentiel de l'actualité et restez à jour avec nos newsletters
découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)Il loue une chambre au cœur de ces quartiers et tisse peu à peu des liens avec les habitants. Son objectif est de montrer la vie au sein d’une favela sans aborder les problèmes liés à la drogue, aux gangs ou à la criminalité, de photographier une vision optimiste du Brésil.
Beaucoup de favelas sont aujourd’hui des zones où il est possible de vivre «normalement». En 2008, le gouverneur de Rio, Sergio Cabral, lance la pacification des favelas en vue de la Coupe du monde de football en 2014 et des Jeux olympiques de 2016. Le but du gouvernement brésilien était de nettoyer ces quartiers pauvres des gangs et des dealers.
Si des favelas sont encore marquées par la violence, car les narcotrafiquants chassés par la police n’hésitent pas à déménager dans d’autres quartiers, certaines ont retrouvé leur calme.
Lors de 26e édition du festival Visa pour l’Image 2014, l’Association nationale des iconographes organise la lecture de portfolios de plus de 300 photographes. «Jesus, Make-up and Football», le reportage de Frédérik Buyckx, a reçu à cette occasion, le Prix ANI-PixPalace 2014. Son travail est visible du 9 octobre au 30 octobre à la Galerie du bar Floréal, à Paris.
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