Séisme au Maroc : l’inquiétude des Marocains de France

Publié
Durée de la vidéo : 2 min
Après le séisme qui a touché le Maroc, vendredi 8 septembre, le pays et sa diaspora sont en deuil. Certains Marocains expatriés n’ont pas encore pu joindre leurs proches. Les appels se multiplient pour espérer avoir des informations, et l’inquiétude grandit.
Séisme au Maroc : l’inquiétude des Marocains de France Après le séisme qui a touché le Maroc, vendredi 8 septembre, le pays et sa diaspora sont en deuil. Certains Marocains expatriés n’ont pas encore pu joindre leurs proches. Les appels se multiplient pour espérer avoir des informations, et l’inquiétude grandit. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J. Neny, L.Pekez. M.Berrurier, N. Lachaud, France 3 Régions
France Télévisions
franceinfo
Après le séisme qui a touché le Maroc, vendredi 8 septembre, le pays et sa diaspora sont en deuil. Certains Marocains expatriés n’ont pas encore pu joindre leurs proches. Les appels se multiplient pour espérer avoir des informations, et l’inquiétude grandit.

Dans la matinée du samedi 9 septembre à Bordeaux (Gironde), certains commerçants n’ont pas le cœur à travailler. À la télévision marocaine, les informations alarmistes s’enchaînent sur le séisme qui a frappé le pays la veille. De son frère à Marrakech (Maroc), un gérant de boutique n’a, pour l’instant, que peu de nouvelles. "Il n’a pas de téléphone, il n’a rien du tout", confie-t-il, avant d'ajouter : "Je suis inquiet." La communauté marocaine à Bordeaux a traversé une longue nuit d’angoisse.

Un appel aux dons lancé 

Les Marocains installés à Marseille (Bouches-du-Rhône) sont aussi sous le choc. "On est loin du Maroc ici, mais on est proche du cœur", affirme un commerçant. En apprenant le séisme, il a décidé de mettre en berne son drapeau. Pour aider les victimes sur place et leurs familles, l’association des Marocains en France est à pied d’œuvre depuis la nuit dernière. Elle a lancé un appel aux dons à toute la diaspora marocaine.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.