Cet article date de plus de six ans.

Orages : l'alerte orange levée sur l'ensemble du pays

Météo France a levé l'alerte jeudi matin sur les deux derniers départements concernés, la Nièvre et la Saône-et-Loire.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Des éclairs dans le ciel de Bordeaux (Gironde), le 4 juillet 2018. (NICOLAS TUCAT / AFP)

L'orage s'éloigne. Météo France a levé, jeudi 5 juillet, l'alerte orange aux orages et pluie/inondation sur l'ensemble des départements concernés. Le ciel restera cependant instable toute la journée : sur le Grand-Est et la Bourgogne Franche-Comté, les averses orageuses resteront fréquentes cet après-midi. L'Ile-de-France et la Normandie sont également concernées.

L'heure est maintenant à l'évaluation des dégâts après les violents orages de mercredi. Jeudi matin, 136 000 foyers étaient toujours privés d'électricité, selon Enedis. Dans le département de la Corrèze, un cycliste de 64 ans originaire de Loire-Atlantique est mort à Objat après avoir été blessé par la chute d'un arbre. 

D'importants dégâts matériels

Les dégâts matériels ont été les plus importants en Dordogne, où se sont concentrés la majorité des foyers privés de courant. Les pompiers ont dû effectuer plus de 500 interventions et le trafic SNCF est totalement interrompu jeudi matin au départ et à l'arrivée de la gare de Périgueux. La circulation des trains est coupée également sur l'axe Bordeaux-Bergerac. En Charente, c'est la grêle qui a provoqué d'importants dégâts, notamment dans les secteurs de La Rochefoucauld et de Chabanais. Les pompiers ont effectué 370 interventions.

Les orages ont été impressionnants dans d'autres départements, mais ils y ont fait beaucoup moins de dégâts. En Moselle, par exemple, les pompiers ont effectué 260 interventions dans l'est du département. Dans le nord de la Somme, les orages ont provoqué dans la soirée de mercredi quelques coulées de boue.

Consultez lamétéo
avec
voir les prévisions

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.