Cet article date de plus de treize ans.

Une explosion est survenue dans un petit immeuble de Mulhouse déclanchant un incendie.

Les pompiers craignaient de retrouver 2 personnes de plus dans les décombres, qui viendraient s'ajouter aux trois morts déjà recensés. Par chance, elles n'étaient pas présentes au moment du sinistre.
Article rédigé par France2.fr avec agences
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
L'immeuble en feu, où trois victimes sont à déplorer. (AFP PHOTO / SEBASTIEN BOZON)

Les pompiers craignaient de retrouver 2 personnes de plus dans les décombres, qui viendraient s'ajouter aux trois morts déjà recensés. Par chance, elles n'étaient pas présentes au moment du sinistre.

En effet, cinq personnes résidaient dans cette immeuble. Deux personnes s'étaient absentées. Pour l'instant, les pompiers ne sont pas en mesure de pénétrer dans le bâtiment en raison des risques d'effondrement de ce dernier.

Les trois victimes sont un jeune homme âgé de 16 ans, une femme de 40 ans et un personne de 84 ans dont le sexe n'a pas été précisé.

L'explosion, dont on ne connaît pas encore les causes, s'est produite peu après 5 heures du matin dans un petit immeuble en brique de deux étages situé à la périphérie de Mulhouse. Le bâtiment abritait deux commerces au rez-de-chaussée, un "Taxiphone", fermé depuis plusieurs mois, et un salon de coiffure.

"Il n'y a pas de pistes plus sérieuses qu'une autre, une enquête judiciaire a été ouverte pour lever le côté un peu trouble de cette explosion", a ajouté M. Legoff, directeur du cabinet du Préfet. Des témoins ont affirmé avoir vu une personne s'enfuir en courant juste après l'explosion. "Cela fait partie des témoignages enregistrés, une enquête est ouverte mais on aura plus d'informations quand on pourra pénétrer dans l'immeuble pour trouver d'éventuels indices", a expliqué Julien Legoff.

Une soixantaine de pompiers sont sur place et estiment que leur intervention pourrait durer toute la matinée et même se prolonger dans l'après-midi.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.