Cet article date de plus de six ans.

Attaque à Strasbourg : plusieurs opérations de police dans le quartier de Chérif C.

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 1min
Fusillade à Strasbourg : plusieurs opérations de police dans le quartier de Chérif C.
Fusillade à Strasbourg : plusieurs opérations de police dans le quartier de Chérif C. Fusillade à Strasbourg : plusieurs opérations de police dans le quartier de Chérif C. (FRANCE 3)
Article rédigé par France 3
France Télévisions

En direct du quartier du Neudorf à Strasbourg (Bas-Rhin) d'où vient la famille du suspect de la fusillade survenue mardi 11 décembre dans la soirée, le journaliste Grégory Fraiz fait le point sur les opérations de police menées au lendemain de l'attaque. 

Plusieurs opérations de police ont été menées entre mardi soir et mercredi 12 décembre dans le quartier de Neudorf à Strasbourg (Bas-Rhin). C'est d'ici qu'est originaire la famille du suspect de l'attaque perpétrée dans la soirée du mardi 11 décembre aux abords du marché de Noël, faisant trois morts et treize blessés, selon le procureur de la République de Paris, Rémy Heitz. "Les forces de l'ordre sont venues inspecter une nouvelle fois la rue d'Épinal, l'une des nombreuses rues de ce quartier résidentiel fait d'impasses, de petits passages, de pistes cyclables", raconte le journaliste de France 3 Grégory Fraiz sur place. "C'est là que serait passé Chérif C. durant sa fuite, ce pour quoi trois des immeubles ont été perquisitionnés de façon assez musclée par la police vers 22 heures", poursuit le journaliste.

Une famille composée de membres parfois violents

"C'est le quartier d'origine du suspect numéro un" avec sa famille. "Une famille nombreuse, une fratrie importante, décrite par certaines connaissances comme étant composée de membres intelligents, mais aussi violents, qui ont fait de la prison, détaille encore Grégory Fraiz. Chérif C. a lui-même un passé assez lourd de délinquant, des faits de violence dès son plus jeune âge au collège, d'après une personne qui l'a bien connu", conclut-il.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.