Cet article date de plus de cinq ans.

Blagnac : quatre femmes prises en otage dans un bar-tabac

Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Blagnac : quatre femmes prises en otage dans un bar-tabac
Blagnac : quatre femmes prises en otage dans un bar-tabac Blagnac : quatre femmes prises en otage dans un bar-tabac (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2
France Télévisions
France 2

Une opération de police était en cours mardi 7 mai à Blagnac (Haute-Garonne), où un homme a pris en otage quatre femmes dans un bar-tabac de Blagnac (Haute-Garonne). L'une d'entre elles aurait été libérée.

Les forces de l'ordre ont bloqué tout le quartier pour sécuriser le périmètre autour du bar-tabac de Blagnac (Haute-Garonne) dont les rideaux sont désormais baissés. À l'intérieur, un homme a pris en otage quatre femmes, la responsable du magasin et des clientes. Dans la banlieue de Toulouse, il est 16h15 lorsqu'il pénètre dans ce bar, le visage caché par un casque de moto. L'homme menace les clients avec une arme à feu, puis appelle les pompiers et réclame un négociateur. À l'arrivée des policiers, il tire en l'air pour les faire reculer. Les commerçants et les voisins sont confinés chez eux. Un restaurateur du quartier a expliqué à France 2 que le bar-tabac dispose d'une autre sortie, qu'il pourrait emprunter. La négociation s'engage avec les hommes du raid. L'homme ne semble pas avoir de revendication précise pour le moment. 

Un otage libéré ? 

"Ce qu'on vient d'apprendre à l'instant, c'est qu'un otage viendrait d'être libéré. Il y aurait maintenant trois otages à l'intérieur du bar-tabac", fait savoir quelques instants plus tard la journaliste Muriel Lassaga. "L'individu qui retient ces otages serait un mineur défavorablement connu des services de police pour des faits de petite délinquance. Pour l'instant, il n'a exprimé aucune revendication, mais veut expressément parler avec un négociateur du Raid. On a écarté, semble-t-il, la piste terroriste, mais les forces de police s'attendent à des négociations très longues dans la soirée", conclut-elle.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.