La SNCF à nouveau victime de malveillance
Ces retards qui ont affecté une trentaine de TGV, entre 17h30 et 21h30 hier, ont tous la même origine, selon Guillaume Pépy : "c'est à nouveau un acte de malveillance, (survenu) à quelques kilomètres de
Marcoussis, où s'était passé, il y deux mois, un tir à la carabine.
C'est exactement la même malveillance, c'est-à-dire un impact de balle sur la
caténaire".
L'incident auquel le président de la SNCF fait allusion s'est déroulé le 1er novembre dernier : des tirs avaient endommagé une caténaire, à Marcoussis (dans l'Essonne, au sud de Paris), et provoqué de très importants retards pour les TGV Atlantique.
_ Interrogé sur l'hypothèse d'un lien entre les deux affaires, Guillaume Pépy a
souligné qu'on était "à quelques kilomètres" et que c'était "le même acte de
malveillance".
Les gendarmes se sont rendus la
nuit dernière sur la ligne TGV à la hauteur de Saint-Martin de
Bréthencourt, à une vingtaine de kilomètres de Marcoussis. Ils
devaient y retourner ce matin pour confirmer la "possibilité d'actes de
malveillance" sur une caténaire.
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