:quality(50)/2024/06/27/eventbar-legislative-mini-667dcaacb4366817301764.png)
: Vidéo De la case primaire à la casse primaire
:quality(50)/2017/02/06/phputhVkn_1.jpg)
Le 5 février 2017, "Dimanche en politique" revient sur le système des primaires qui, à droite comme à gauche, ne semblent pas avoir eu d'effet fédérateur...
Chez Les Républicains comme au Parti socialiste, la présidentielle 2017 aura offert des primaires. Cette mécanique censée, à droite comme à gauche, légitimer un candidat incontestable et donner un élan à sa campagne a pourtant eu des effets inattendus.
A droite, un François Fillon fragilisé dans le Penelope Gate a enfermé son parti dans une impasse dont il semble difficile de sortir. A gauche, la victoire de Benoît Hamon divise toujours le PS, qui a des difficultés à se rassembler.
Trois candidats qui disent s’adresser directement aux citoyens
Dans le même temps, deux autres candidats à la présidentielle ont choisi l’aventure hors parti : Emmanuel Macron avec son mouvement La France en marche, et Jean-Luc Mélenchon avec La France insoumise. Quant à Marine Le Pen, avec un Front national à sa main, elle ne connaît pour l’heure aucune contestation interne affirmée.
Ces trois candidats qui n’ont pas joué le jeu des primaires ont en commun un modèle politique qui s’affranchirait des partis traditionnels et s’adresserait directement aux "citoyens", voire "au peuple".
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.