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Crise sanitaire : l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle tourne au ralenti

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Crise sanitaire : l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle fait grise mine
Crise sanitaire : l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle fait grise mine Crise sanitaire : l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle fait grise mine (France 2)
Article rédigé par France 2 - J. Cholin, C.-M. Denis, A. Fajon, Y. Saidani
France Télévisions
France 2

S’il y a bien un secteur sinistré par la crise, c’est le transport aérien. Les aéroports fonctionnent au ralenti, y compris celui de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise). Le président d’Aéroports de Paris estime qu’une réouverture ne pourra être intégralement effective qu’en 2023.

Le secteur du transport aérien se porte mal, très mal, comme de nombreux autres en France. Les aéroports sont forcés de fonctionner au ralenti et le président d’Aéroports de Paris prévoit une réouverture totale des aérogares pour 2023 seulement. De ce fait, les entreprises qui dépendent de l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise) – dont le nombre de voyageurs a été divisé par dix  se trouvent dans une situation très difficile. Les boutiques sont très peu ouvertes et les restaurants sont fermés. 

Un aéroport fantôme

"Je trouve ça glauque, je ne sais pas combien il y a de passagers dans les avions ni si c’est rentable de les faire partir aujourd’hui", s’interroge une voyageuse. Dans le Terminal 1, qui est fermé, seuls quelques employés se chargent de l’entretien. "Il ne faut pas laisser dépérir les installations. On a la chance de travailler. Certains n’ont pas bougé de chez eux", témoigne un salarié.

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