La direction du quotidien n'était pas joignable lundi matin.Le délégué CGT des techniciens, M. Ouzid Messaoudi, a déclaré à l'AFP ne pas être "en mesure de répondre" immédiatement sur les raisons de ce mouvement.Dans la nuit du 21 au 22 février derniers, un mouvement de grève de l'imprimerie et du service des expéditions avait déjà empêché la parution des seize éditions du quotidien, sur toute sa zone de diffusion : Loire, Rhône, Haute-Loire, Ain et Jura.Les revendications principales des grévistes portaient alors sur les sacs contenant les journaux destinés à l'approvisionnement des abonnés, fournis par la Poste et jugés "trop rigides".Le travail avait repris le lendemain, après une négociation.Le Progrès est une propriété du groupe Ebra depuis 2006.
