"Nous avons pesé pour que ce qui était inacceptable soit réécrit positivement ", a déclaré Laurent Berger. "Ce soir, je me dis que la CFDT et les organisations syndicales réformistes ont été utiles pour faire plier le gouvernement sur des mesures qui n'étaient pas adaptées à la réalité ". Selon lui, " rien dans le code du travail " n'est remis en cause par la version bis de la réforme. Le secrétaire général de la CFDT dit toutefois "rester vigilant" sur l'écriture du texte.