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Vidéo En immersion avec la brigade fluviale de Paris

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À Paris, ces policiers assurent la sécurité sur la Seine et ses kilomètres de berges... Noyades, recherches de preuves sous l'eau : c'est leur quotidien. Brut a passé une journée avec la brigade fluviale.
VIDEO. En immersion avec la brigade fluviale de Paris À Paris, ces policiers assurent la sécurité sur la Seine et ses kilomètres de berges... Noyades, recherches de preuves sous l'eau : c'est leur quotidien. Brut a passé une journée avec la brigade fluviale. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

À Paris, ces policiers assurent la sécurité sur la Seine et ses kilomètres de berges... Noyades, recherches de preuves sous l'eau : c'est leur quotidien. Brut a passé une journée avec la brigade fluviale.

Du secours à la personne, de la dépollution à la prévention en passant par leur entraînement... Brut a passé 24 heures avec la brigade fluviale de Paris. La journée commence par un appel pour noyade au niveau du Pont de Bercy. "Malheureusement, la personne était déjà décédée depuis un petit moment donc là, on a juste un rôle de police technique et scientifique", explique André, gardien de la paix. "Le but, c'est d'identifier si la personne est tombée accidentellement ou si c'est un homicide", ajoute-t-il. À peine deux heures après, place à l'entraînement avec les plongeurs, ceux qu'on appelle les brocanteurs à force de trouver "un peu de tout" au fond de la Seine. Lorsqu'ils plongent, les gardiens de la paix effectuent un travail de recherche important, notamment pour des enquêtes.

"Il y a de la vie sur la Seine et toute l'année"

Touristes et Parisiens apprécient la Seine pour tout ce qu'elle a de photogénique. Mais derrière la carte postale, c'est aussi tout un monde qui s'active quotidiennement. "Entre les marchandises, les plaisanciers, les personnes qui vivent sur le fleuve (…) nos missions, c'est aussi d'aller au contact de ces personnes là pour savoir comment ça se passe, si tout va bien, s'ils n'ont pas besoin d'aide... On est à leur service", conclut André.

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