La protection policière des candidats représente une douzaine d'hommes. "À cette protection policière s'ajoute la protection personnelle des candidats. Emmanuel Macron a engagé une société de sécurité privée, payée par son mouvement. Quant à Marine Le Pen, elle travaille avec le service d'ordre du Front national", explique Guillaume Daret.Quelle protection pour les bureaux de vote ?Le ministre de l'Intérieur l'a annoncé : il y aura 50 000 policiers et gendarmes pour protéger 69 000 bureaux de vote. "Il y a aussi des initiatives locales qui viennent s'ajouter à cela. À Nice, en plus de la police municipale et nationale, Christian Estrosi, va annoncer demain que devant chaque bureau de vote il y aura un agent de sécurité privé payé par la municipalité", conclut le journaliste.