PSA : l'accord implique qu'il n'y aura "pas de fermeture d'usine" en France, selon Moscovici
Invité de RTL, le ministre de l'Economie a justifié un un "investissement avisé et stratégique" de l'Etat.
L'entrée de l'Etat français au capital de PSA Peugeot Citroën, officialisée mercredi 19 février, est un "investissement avisé et stratégique", selon le ministre de l'Economie et des Finances, Pierre Moscovici, invité de RTL.
Le ministre justifie notamment cette décision par les "engagements qui ont été pris par PSA en France" : "Il y a un accord industriel qui implique qu'il n'y aura pas de fermeture d'usine, un million de véhicules produits en France d'ici 2016, des investissements à hauteur de 1,5 milliard d'euros et 75% de la recherche et développement de PSA qui va rester en France."
Les pouvoirs publics et le géant chinois Dongfeng ont pris part à l'opération d'augmentation de capital du groupe automobile à hauteur de 800 millions d'euros, avec à la clé 14% du capital du premier constructeur automobile français chacun.
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