A l'école des toreros

Reportage dans l'école taurine de Nîmes (Gard), où sont formés les futurs matadors.

Elodie DrouardFrance Télévisions

Mis à jour le 06/11/2013 | 14:11
publié le 05/11/2013 | 16:15

Pendant que certains enfants profitent de leur mercredi après-midi pour jouer au football ou au tennis, d’autres choisissent une activité extrascolaire plus surprenante : la tauromachie. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

A Nîmes (Gard), le Centre de tauromachie offre aux apprentis toreros l’occasion de se former à cet art séculaire, qui consiste à affronter un taureau dans une arène. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

A 12 ans, Solal, dit "Solalito", n’a qu’un rêve : devenir torero. Le soir, dans sa chambre, il parcourt les revues spécialisées en attendant le prochain entraînement. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Créée en 2004, l’école taurine de Nîmes accueille des jeunes de 7 à 20 ans. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Il existe en France une dizaine d’établissements de ce genre. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Autour de cette discipline exigeante, une équipe enseignante s’efforce de transmettre les valeurs de la tauromachie. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Tous les samedis après-midi, les apprentis toreros s’entraînent sans relâche aux arènes de Rodilhan (Gard). JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Au programme : toréo de salon, l'apprentissage des gestes de la tauromachie, mais sans taureau. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Les jeunes toreros étudient le maniement de la cape et de la muleta, le drap rouge monté sur un bâton et qui cache l’épée du toréador. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Et pour ces enfants passionnés, tout est prétexte à s’entraîner. Même une chemise sur son cintre peut se transformer en muleta. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

A 10 ans, Nino, dit "El Nino", s’entraîne au maniement de l’épée. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Le dimanche, les élèves les plus doués participent à des becerradas, des corridas dans lesquelles les taureaux sont remplacés par des becerros, de jeunes taurillons de moins de 3 ans. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Dans les vestiaires, les plus jeunes aident leurs aînés à s’habiller. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Et c'est dans l'arène de Bouillargues (Gard) qu’ils ressentent les premiers frissons du spectacle. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

La création des écoles taurines est assez récente. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Ce n’est qu’en 1830 que la première école ouvre à Séville (Espagne), rompant ainsi avec la tradition des maletillas, lorsque les apprentis toreros parcouraient les routes comme des vagabonds afin de trouver quelques passes. JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS

Aujourd’hui, chaque apprenti a en tête la citation affichée dans l’école taurine de Madrid "Llegar a ser figura del toreo es casi un milagro" ("Parvenir à maîtriser l’art du toréador est presqu’un miracle"). JEAN-PAUL PELISSIER / REUTERS