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23h05 : Le Parisien.fr publie le témoignage d'un des huit rescapés de la collision entre un bus et un camion a fait 43 morts et quatre blessés graves. Jean-Claude, 73 ans, était dans le bus avec sa femme. "On roulait depuis seulement un quart d'heure à une allure modérée et tout est allé très vite", explique-t-il.
"Le car est resté debout mais le plus impressionnant, c'est que le feu a démarré tout de suite. C'était comme un éclair", dit-il. Sa femme est brûlée au 2e degré mais hors de danger.
22h16 : Habitant à deux km du lieu de l'accident, je confirme que ce virage est extrêmement dangereux, pas ou peu de visibilité, il est toujours humide car toujours à l'ombre, glissant à cette époque de l'année par la chute des feuilles des arbres sur la chaussée. Pourtant, beaucoup de véhicules passent sur ce tronçon de départementale qui, à mon avis, n'est pas assez aménagé pour accueillir poids lourds ou bus. J'étais sûr qu'un jour il y aurait une grave catastrophe.
22h15 : Alors que l'on s'interroge sur les circonstances de l'accident entre un bus et un camion a fait 43 morts et quatre blessés graves, ce matin, à Puisseguin, en Gironde, @gardegan33350 qui habite non loin de l'endroit où s'est produit le drame met en cause la dangerosité du virage.
21h56 : Petit-Palais, Puisseguin, mais aussi Camps-sur-l'Isle, Lussac, Saint-Sauveur-de-Puynormand... C'est une toute une région qui est endeuillée à la suite du terrible accident entre un bus et un camion, ayant fait 43 morts, en Gironde. Reportage de France 2.
21h20 : Défaillances mécaniques, vitesse trop élevée... Un expert liste pour francetv info les hypothèses après l'accident de Puisseguin, le plus meurtrier depuis 30 ans, à partir de ce que l'on sait. 
(REGIS DUVIGNAU / REUTERS)
21h00 : L'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale a commencé à travailler sur les lieux l'accident entre un bus et un camion, ayant fait 43 morts à Puisseguin, en Gironde.
20h40 : Après l'accident survenu à Puisseguin (Gironde) qui a fait au moins 43 morts de nombreuses questions se posent. Parmi elles : dans quel état était la route ? Eléménts de réponse avec France 3 Aquitaine.
20h26 : Une fois la nouvelle du drame connue, les familles des victimes de l'accident de Puisseguin (Gironde) ont convergé sur les lieux du drame. Mais les nouvelles arrivent au compte-goutte. Reportage de France 3.
19h59 : Suivez en direct l'édition spéciale du journal de "20 heures" de France 2 consacrée en grande partie à l'accident de la route entre un autocar et un camion, le plus meurtrier depuis 33 ans en France. La collision a fait 43 morts et quatre blessés graves ce matin près de Libourne en Gironde. 
19h39 : "L'intervention du chauffeur du bus et sans doute d'une tierce personne ont permis l'extraction de huit passagers", explique le procureur de la République de Libourne, alors que sa conférence de presse prend fin.
19h39 : "Peut-on expliquer l'embrasement rapide du bus ?", demande un journaliste présent lors de la conférence de presse. "Non", répond le procureur de Libourne.
19h36 : "J'ai annoncé un nombre de décès de 41-42 personnes dans le bus, nous croisons les informations sur le nombre de défunts", explique le procureur de Libourne, après l'accident ayant fait 43 morts à Puisseguin. Le doute subsiste concernant la présence ou non d'une personne dans le bus, ajoute-t-il.
"Il nous faut vérifier que les personnes inscrites étaient bien dans le car", dit-il.
19h34 : "Le chauffeur du car n'est plus à l'hôpital et il sera entendu", annonce le procureur de la République de Libourne.
19h35 : "Les investigations sont insuffisantes pour déterminer la raison du drame", ajoute le procureur de Libourne. "Je ne confirme pas que le conducteur du bus a vu le camion à l'arrêt sur la route."
19h30 : Le chauffeur du bus "a fait des déclarations qui laissent penser que le camion n'était pas totalement sur la voie", explique le procureur de Libourne.
19h28 : Les analyses des dépouilles et leur identification sera effectuée par l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.
19h29 : "Le processus d'identification des victimes va nous prendre environ trois semaines", annonce le chef de la section de la gendarmerie de Bordeaux.
19h25 : "La route départementale sera bloquée pendant 3 jours", pour permettre à l'enquête d'avancer.
19h24 : "A ce stade, impossible d'envisager une quelconque responsabilité pénale", précise le procureur de Libourne, après l'accident ayant fait 43 morts à Puisseguin (Gironde).
19h25 : "Les investigations sont concentrées sur l'identification des corps", explique le procureur de Libourne (Gironde). "Une analyse complète" sera disponible "dans les prochains jours".
19h21 : Le procureur de Libourne débute une conférence de presse après l'accident ayant fait 43 morts à Puisseguin (Gironde).
19h22 : "Il est normal qu'on pose cette question, après un drame aussi important."
Noël Mamère persiste et signe sur RTL. Après l'accident ayant fait 43 morts à Puisseguin (Gironde), le député Europe Ecologie-Les Verts a mis en cause les choix du gouvernement et la loi Macron qui libéralise la circulation des autocars. "Il y a des choix politiques qui sont faits et qui visent à dépenser des milliards pour construire des grandes infrastructures qui ne servent pas la sécurisation des routes secondaires", dit-il ce soir.
19h02 : Suivez l'édition spéciale du "19/20" de France 3 Aquitaine consacrée à l'accident de la route entre un autocar et un camion, le plus meurtrier depuis 33 ans en France. La collision a fait 43 morts et quatre blessés graves ce matin près de Libourne en Gironde. 
18h33 : "J'ai perdu trop de monde d'un seul coup."
A Petit-Palais-et-Cornemps, le village où résidaient la plupart des victimes de l'accident de car qui a fait 43 morts, les habitants sont bouleversés. Jean Solans a perdu "un frère, des voisins, des amis. Je ne peux pas comprendre". C'est "impensable", dit-il à l'AFP.
18h25 : Cet après-midi, les députés n'étaient pas nombreux à l'Assemblée nationale mais ils ont tenu à faire une minute de silence en hommage aux victimes de la catastrophe survenue à Puisseguin (Gironde).
(REUTERS)
18h18 : On en sait plus sur le chauffeur routier tué dans une collision avec un autocar. Selon France 3 Pays de la Loire, il est originaire de l'Orne. Il travaillait pour une entreprise basée dans l'Orne à Saint-Germain Clairefeuille, spécialisée dans le transport routier de fret de proximité. La remorque de son poids-lourd appartenait à la société Morin basée en Mayenne, poursuivent nos confrères. Son fils de 3 ans, qui l'accompagnait, a été tué dans l'accident.
17h24 : Selon nos confrères de France Bleu Gironde, une cérémonie de recueillement a été organisée pour les proches des victimes.
17h22 : @anonyme : Le chauffeur du camion, un grumier de transport de bois, circulant à vide, fait partie des morts, de même que son fils âgé de trois ans, qui se trouvait à ses côtés, confirment la préfecture et la gendarmerie. Quant au chauffeur de l'autocar, il est sorti miraculeusement indemne de l'accident, s'en tirant avec de légères brûlures. Il y avait 48 passagers et un chauffeur à bord du car.
17h21 : L'enfant est-il le fils du chauffeur ou pas ?
16h55 : Arrêtons d'accuser soit le chauffeur du bus, ou du camion, ou la route. .. l'enquête le dira. Il y a des familles décimées, déchirées aujourd'hui. Pensons à eux avant tout !
16h55 : Fils de camionneur, mon père me raconte sans arrêt que ce qui provoque le plus des accidents, c'est la construction des routes (et des sorties) avec peu de réflexion. Des routes trop étroites pour deux voitures, on ne voit que cela dans le massif central. Lorsque l'on roule, on doit souvent se mettre de coté pour laisser la voiture d'en face passer. Je ne vous raconte pas le nombre de fois où j'ai évité un accident car la route était en S donc aucune visibilité sur des routes à double sens mais trop étroite.
16h54 : Cette route est en bon état. Étroite certes avec peu de visibilité mais elle est en bon état. Je la prends régulièrement.
17h17 : "La route départementale 17 n'est pas considérée pour nous comme dangereuse."
Le délégué interministériel à la Sécurité routière, interrogé sur i-Télé, évoque un "drame national". "Les accident d'autocars sont en baisse", ajoute-t-il.
15h59 : "La totalité des corps [sont] encore dans l'autocar", annoncent les secours. Plus tôt, la gendarmerie a annoncé que l'enquête sur l'accident mortel qui a fait 43 victimes à Puisseguin pourrait prendre plusieurs semaines.
15h54 : "C'est un choc terrible pour la France, et aujourd'hui la France et les Français sont en deuil."
Manuel Valls s'est aussitôt rendu sur place avec le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, et Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé des Transports. Retrouvez l'intégralité de sa prise de parole, tout à l'heure.
15h54 : Nous sommes en période de vacances scolaire, on trouve de plus en plus d'enfants dans les cabines de camions. Mon voisin est routier et emmène son gamin avec lui pendant les vacances (1 jour ou 2).
15h50 : Le colonel Ghislain Réty est en direct sur i-Télé : il confirme que l'enfant retrouvé dans la cabine du chauffeur était âgé de 3 ans.
15h43 : A quoi servent toutes ces suppositions, sinon de vouloir trouver des responsables, alors qu'une enquête ne fait que commencer ? Un peu de décence et de compassion vis-à vis des victimes et leurs proches seraient bienvenus.
15h42 : "On ne peut pas vous dire qui était à l'arrêt et qui était en mouvement", précisent les gendarmes. Impossible à ce stade de l'enquête d'indiquer les raisons de la collision mortelle.
15h41 : Visiblement d'après les images et le photos, le bus s'est encastré dans le réservoir de carburant à l'arrière de la cabine de la semi-remorque, ce qui a provoqué une grosse fuite de gasoil qui a du s'écouler sous l'ensemble du bus et prendre feu avec un léger effet retard en raison du type de carburant. Ce qui explique l'embrasement complet et rapide du bus, ne laissant aucune chance aux passagers. Toutes mes pensées vont aux familles et aux victimes.
15h41 : Impossible pour l'instant de savoir pourquoi le véhicule s'est enflammé si vite, indique la gendarmerie dans son point presse. Dans les commentaires,fournit une hypothèse.
15h50 : Selon la gendarmerie, l'enfant "pourrait être l'enfant du chauffeur", mais les gendarmes n'indiquent pas précisément d'où vient le chauffeur. "Il venait du 53 [la Mayenne]."
15h49 : "On a entendu le chauffeur du bus mais il est extrêmement choqué", poursuit la gendarmerie.
15h38 : "Je ne peux pas pour l'instant vous donner les causes de l'accident. C'est une expertise", poursuit la gendarmerie, pendant sa conférence de presse.
15h49 : "La priorité c'est de rendre les corps aux familles et ensuite nous nous occuperons des carcasses de bus et de camions, la chaussée sera donc bloquée pendant au moins 3 jours", indique la gendarmerie.
15h34 : Les routes secondaires etroites devraient être à sens unique. Donc, pas de risques fronteaux.