Kendji Girac blessé : "Les témoignages recueillis paraissaient confus tant sur les circonstances des faits, que sur les lieux exacts où il s'était produit", explique Madjid Khiat

Publié le 23/04/2024 13:50

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Kendji Girac blessé : "Les témoignages recueillis paraissaient confus tant sur les circonstances des faits, que sur les lieux exacts où il s'était produit", rapporte Madjid Khiat Après avoir été blessé par balle dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril, Kendji Girac est toujours hospitalisé. Si le chanteur assure s'être lui-même tiré dessus par accident, la thèse semble être remise en doute puisqu'une enquête pour tentative d'homicide volontaire a été ouverte. Pour en parler, Madjid Khiat et Audrey Goutard, journalistes, sont dans le 12/13 info mardi 23 avril. (france info)

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Après avoir été blessé par balle dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril, Kendji Girac est toujours hospitalisé. Si le chanteur assure s'être lui-même tiré dessus par accident, la thèse semble être remise en doute puisqu'une enquête pour tentative d'homicide volontaire a été ouverte. Pour en parler, Madjid Khiat et Audrey Goutard, journalistes, sont dans le 12/13 info mardi 23 avril.

Alors que Kendji Girac a été blessé par balle, une enquête pour tentative d'homicide volontaire a été ouverte par le procureur de la République de Mont-de-Marsan (Landes), bien que le chanteur assure s'être blessé seul. "Les témoignages recueillis paraissaient confus tant sur les circonstances des faits, que sur les lieux exacts où il s'était produit", aurait déclaré le procureur, selon le journaliste Madjid Khiat.

"Les personnes ont refusé de répondre"

En arrivant sur les lieux aux alentours de 5 heures 30, les gendarmes auraient été confrontés à une ambiance pesante. "Lorsque les gendarmes tentent d'échanger, d'interroger brièvement les personnes présentes (…) les personnes ont refusé de répondre", assure le journaliste. "Kendji Girac n'a pas répondu à une audition pour l'instant. Le procureur de la République de Mont-de-Marsan a expliqué que Kendji Girac répondrait aux questions des enquêteurs quand sa santé le lui permettrait", précise-t-il. De son côté, Audrey Goutard, journaliste spécialisée ajoute que "personne n'a le droit d'avoir une arme sans autorisation spécifique".