Quand la chanson porte l'utopie

La victoire de Javier Milei à l'élection présidentielle argentine, malgré un programme qualifié de peu réaliste et dangereux par beaucoup d'experts, invite à réécouter quelques délires utopiques des artistes de la chanson.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 6 min
Les délires utopiques des artistes de la chanson. (Illustration) (GETTY IMAGES / CAVAN IMAGES RF)

"Quand j’ai besoin d’une chanson, je ferai sauter la terre". Elle est fort belle, cette formule de Maxime Le Forestier dans sa chanson Antipodes. En cherchant une idée de texte, il a eu l’idée d’un trou, d’un grand trou qui traverse toute la terre, et permet d’aller de l’autre côté de la planète en passant par le sous-sol...

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :

Maxime Le Forestier, Antipodes, 1979

Gilles Servat, Toi Paris tu m'as pris dans tes bras et j'ai eu du pot de m'en sortir, 1973

Sheila White, Le Tunnel sous la Manche, 1972

Raoul de Godewarsvelde, L'Tunnel sous l'Channel, 1973

Les Parisiennes, Le Tunnel sous la Manche, 1966

Antoine, Les Elucubrations, 1966

Michel Delpech, Les Divorcés, 1972

Tryo, Alain Souchon, Pierre Souchon, Ours, 2050-2100, 2020

Cali, L'Âge d'or, 2015


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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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