Ces chansons qui font l'actu. Laurent Wauquiez, le "bullshit" et le rap
Le président des Républicains introduit dans le langage politique un vocabulaire que la musique populaire a mis très longtemps à adopter.
Bienheureux Georges Brassens. Puisque son métier est "de parler comme un turlupin", il ne se contente pas de penser les gros mots, il les dit ! Le Pornographe, une chanson autoportrait de 1959, nous rappelle combien le monde change, et combien évolue la notion de rudesse d’expression, de vulgarité, de grossièreté – peu importe quel mot l’on emploie.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Georges Brassens, Le Pornographe, 1959
Mireille, Voilà les hommes, 1938
Fréhel, Il n'est pas distingué, 1935
Assassin, Au centre des polémiques, 1992
Assassin, Au fond de mon cœur, 2000
Fonky Family, Marginale musique, 2006
Lefa, Sang froid, 2017
IAM, Fiya, 2017
Aya Nakamura, Moi, 2017
Léo Ferré, Le Chien, 1969
Georges Brassens, Le Pornographe, 1959
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter.
En juillet et août dernier, nous avons passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson.
Tout l’été 2016, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et franceinfo.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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