Cet article date de plus d'onze ans.

L'inactivité physique au travail : ses dangers et comment la rompre

Selon un groupe de médecins qui lancent un appel à faire davantage d'activités physiques, y compris pendant sa journée de travail, les risques liés à la sédentarité dépasseraient ceux du tabac. Au bureau, on pourrait réduire les risques en adoptant des comportements simples, comme se lever régulièrement pour se dégourdir les jambes.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Franceinfo (Franceinfo)

Selon le professeur Martine
Duclos, membre français de l'ICCR, l'International chair of cardiometabolic risk, l'inactivité physique est associée à une
mortalité précoce, mais c'est aussi le cas de la sédentarité. Ainsi, plus on
passe de temps assis, plus on augmente son risque de mortalité. Mais on peut
rompre ce cercle vicieux en "diminuant le temps de sédentarité et en augmentant
le temps d'activité". 

Le Professeur Duclos suggère ainsi de se lever régulièrement, même pour jeter un papier à la poubelle ou aller voir un collègue, de ne pas tenir des réunions de plusieurs heures sans interruption, de se dégourdir les jambes dès qu'on en a l'occasion.

La patronne de Facebook recommande aux femmes de pleurer au travail

Sheryl Sandberg est la numéro deux de Facebook, elle a été classée parmi les 100 personnes les plus influentes du monde par le magazine américain Time... Elle reconnaît qu'il lui arrive de pleurer au travail, et elle encourage les femmes à laisser éclater leurs émotions au boulot, même si cela doit se traduire par quelques larmes. J'ai partagé cette information hier soir sur Twitter et j'ai eu beaucoup de réactions qui disaient " et les hommes alors ? " il n'y ont pas droit ? Sheryl Sandberg répond à la question : et pour elle c'est non : la patronne de Facebook estime que les hommes ont été formés pour ne pas pleurer et que, s'ils le faisaient, cela pourraient entraver leur carrière. Sexisme ou réalisme ? A vous de juger.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.