Cyclone Belal à La Réunion : "On n’a pas connu un cyclone d’une telle intensité depuis 1962", alerte une habitante

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Les premiers effets du cyclone Belal se font ressentir à La Réunion ce dimanche 14 janvier, en début de soirée. Témoignage dans le 19/20 info de Julie Touzet, une habitante de l’île.
Cyclone Belal à La Réunion : "On n’a pas connu un cyclone d’une telle intensité depuis 1962", alerte une habitante Les premiers effets du cyclone Belal se font ressentir à La Réunion ce dimanche 14 janvier, en début de soirée. Témoignage dans le 19/20 info de Julie Touzet, une habitante de l’île. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - J. Benedetto
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Les premiers effets du cyclone Belal se font ressentir à La Réunion ce dimanche 14 janvier, en début de soirée. Témoignage dans le 19/20 info de Julie Touzet, une habitante de l’île.

Julie Touzet, en duplex dans le 19/20 info, se trouve sur l’île de La Réunion. "Depuis une heure environ, les vents ont forci, du coup plus personne n’est à l’extérieur depuis 20 heures. Par rafales, on sent le vent souffler dans la forêt. (…) Pour la pluie, c’est par-à-coups, mais ça rentre doucement mais sûrement", rapporte-t-elle. Alors que le préfet de La Réunion s’est dit "préoccupé et soucieux", Julie Touzet poursuit : "On n’a pas connu un cyclone d’une telle intensité depuis 1962. Ma mère me disait qu’à l’époque elle avait dû fuir son logement avec ses frères et sœurs, puisqu’il y avait eu des dégâts importants."

Des stocks d’eau et de conserves

Un passage du cyclone en alerte violette n’est pas exclu, "ce qui serait inédit", avec des vents qui pourraient souffler à plus de 200 km/h. Les habitants ont fait des stocks d’eau et de nourriture. "On est susceptibles de subir des coupures d’électricité et des coupures d’eau", justifie Julie Touzet. Parmi les achats, de l’eau en bouteille, des radios ou encore des piles et des conserves. L’habitante dit également avoir "bien accroché les vélos, fermé les portes", mais aussi "renforcé les volets" et "dégagé tout ce qu’il y a à l’extérieur".

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