Accord sur les otages entre Israël et le Hamas : "On voudrait que les 240 otages soient libérés", indique l'organisatrice d'un rassemblement de familles à Paris

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Chaque vendredi à 12h30, les familles d'otages français du Hamas se réunissent sur la place parisienne du Trocadéro. Présente sur place, vendredi 24 novembre, la journaliste Aude Soufi a donné la parole à Nathalie Riu-Guez, organisatrice du rassemblement.
Accord sur les otages entre Israël et le Hamas : "On voudrait que les 240 otages soient libérés", indique l'organisatrice d'un rassemblement de familles à Paris Chaque vendredi à 12h30, les familles d'otages français du Hamas se réunissent sur la place parisienne du Trocadéro. Présente sur place, vendredi 24 novembre, la journaliste Aude Soufi a donné la parole à Nathalie Riu-Guez, organisatrice du rassemblement. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - A.Soufi
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Chaque vendredi à 12h30, les familles d'otages français du Hamas se réunissent sur la place parisienne du Trocadéro. Présente sur place, vendredi 24 novembre, la journaliste Aude Soufi a donné la parole à Nathalie Riu-Guez, organisatrice du rassemblement.

Les familles d'otages français du Hamas se réunissent chaque vendredi à 12h30 sur la place du Trocadéro à Paris. Présente sur place, vendredi 24 novembre, la journaliste Aude Soufi s'est entretenue avec Nathalie Riu-Guez, qui organise ce rassemblement. Alors que 13 premiers otages devraient être libérés dans l'après-midi, dans le cadre de l'accord de trêve conclu entre le Hamas et Israël, l'organisatrice a indiqué : "On a beaucoup d'espoir que cet après-midi, les premiers 13 otages soient libérés, mais il en reste énormément, donc on ne va pas s'arrêter parce qu'on voudrait que les 240 otages soient libérés."

"On ne veut pas que la guerre prenne le pas"

"On ne veut pas que les otages passent au second degré, et que la guerre prenne le pas. Il ne faut pas oublier ces enfants, ces femmes, ces jeunes gens et ces personnes âgées qui sont otages à Gaza dans des conditions que l'on ne connaît pas", a poursuivi Nathalie Riu-Guez. La libération au compte-gouttes des otages est "extrêmement difficile pour les familles", a-t-elle déploré. "Il ne faut pas oublier aussi que, parmi ces enfants otages, certains ne savent pas que leurs deux parents sont décédés", a rappelé l'organisatrice du rassemblement.

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