Super-profits énergétiques : pour Bruno Retailleau, le "mécanisme de contribution européenne" est une "usine à gaz"
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Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat et candidat à la présidence du parti, est l'invité des "4 Vérités" sur France 2, mardi 6 septembre.
Mardi 6 septembre, le président du groupe Les Républicains (LR) au Sénat et candidat à la présidence du parti, Bruno Retailleau, est l'invité des "4 Vérités" sur France 2. Il s'oppose tout d'abord à l'idée de taxer les super-profits de certaines entreprises : "On a des mécanismes, et on ne va pas, une fois encore, retaxer les entreprises françaises." Bruno Retailleau juge que le mécanisme de contribution européenne, avancé lundi 5 septembre par Emmanuel Macron, est une "usine à gaz". "Si on veut que l'électricité soit moins chère, il faut qu'elle soit moins rare", ajoute-t-il.
Le Conseil national de la refondation est un "bidule macronien"
Bruno Retailleau revient ensuite sur le Conseil national de la refondation voulu par Emmanuel Macron, qui doit être lancé jeudi 8 septembre : "J'ai dit depuis le départ que c'était un bidule macronien, et que c'était un instrument de contournement du Parlement." Au sujet de sa candidature à la présidence du parti LR, Bruno Retailleau explique qu'il s'agit d'une "question de responsabilité", car cette élection est celle "de la dernière chance" après "trois échecs graves, successifs".
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