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Politique : visite tendue pour le président dans l’Hérault

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Politique : visite tendue pour le président dans l’Hérault
Article rédigé par France 3 - A. Bourse
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En déplacement à Ganges, dans l'Hérault, jeudi 20 avril, Emmanuel Macron n’a pas encore pu faire les annonces souhaitées du fait des manifestants qui l’attendaient dans la ville et d’une coupure de courant par la CGT dans le collège qu’il devait visiter. Sur place, la journaliste Anne Bourse fait le point sur la situation.

Le président de la République, en visite dans l’Hérault jeudi 20 avril, a reçu un accueil mitigé de la part des citoyens locaux. L’électricité avait été coupée par la CGT dans le collège qu’il a visité et les huées de manifestants l'attendaient à Ganges à son arrivée. “Pour l’instant, Emmanuel Macron n’est pas allé se frotter aux manifestants comme on l’a vu le faire hier en Alsace”, explique Anne Bourse, sur place pour le 12/13. À Sélestat (Bas-Rhin), le président avait aussi été accueilli par le bruit des casseroles et des huées.

Des annonces pour l’éducation attendues

“C’est pourtant l’un des buts de ces déplacements, montrer qu’il n’est pas empêché, qu’il se déplace”, confie la journaliste. Le président souhaite avancer sur les chantiers à venir dans les fameux 100 jours évoqués lors de son allocution télévisée du lundi 17 avril. “L’éducation est l’un des chantiers et au cours de ce déplacement, il doit faire plusieurs annonces : un meilleur accompagnement des élèves de 6e, le remplacement des enseignants absents et devrait annoncer une augmentation des revenus pour tous entre 10 et 200 euros nets par mois en fonction de l'ancienneté”, rapporte Anne Bourse.

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