Cet article date de plus de quatorze ans.

Un clip avec Pamela Anderson interdit de passage

Les aéroports américains ont renoncé à diffuser un clip réalisé pour PETA mettant en scène Pamela Anderson
Article rédigé par France2.fr
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1 min
Pamela Anderson en T-Shirt de l'association pour un traitement éthique des animaux, PETA, à Santa Monica (9/09/2009) (© AFP/GABRIEL BOUYS)

Les aéroports américains ont renoncé à diffuser un clip réalisé pour PETA mettant en scène Pamela AndersonLes aéroports américains ont renoncé à diffuser un clip réalisé pour PETA mettant en scène Pamela Anderson

Motif: la chaîne de télévision produite par CNN pour les aéroports US craint qu'il puisse être vu par des enfants.

On y voit l'actrice d'origine canadienne, connue pour sa poitrine généreuse, dans le rôle d'un agent de sécurité d'aéroport légèrement vêtu, déshabillant les passagers portant fourrures, cuirs et autre peaux d'animaux ( la vidéo).

La vidéo, réalisée pour l'Association pour un traitement éthique des animaux avec l'ex-vedette d'Alerte à Malibu, a donc été jugée trop osée. C'est ce qu'a annoncé le 10 septembre, jour où le clip devait être diffusé dans les aéroports de New York pour coïncider avec la Fashion Week, l'association.

Les responsables de PETA ont précisé que CNN Airport Network considérait le sujet "très sensible, car les enfants font partie intégrante de la population des aéroports". Ils espèrent maintenant placer la vidéo dans les programmes diffusés à bord des avions.

Pour sa part, la blonde a déclaré qu'elle continuerait à se battre contre les marques utilisant des peaux d'animaux: "On ne devrait voir aucune fourrure ou produits d'origine animale dans les défilés. Tout le commerce autour des animaux, vous savez, c'est corrompu. C'est très cruel".

Et la bombe anatomique de conclure: "Et je ne parle pas que de la fourrure, mais de tous les produits d'origine animale. Mais il est important de savoir qu'il y a des alternatives à tout, même au cuir".

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.