Après plusieurs mois d'affrontements, l'agression militaire unilatérale décidée par Vladimir Poutine a plongé l'Ukraine dans la guerre le 24 février 2022. Mercredi 21 septembre, dans une allocution télévisée, Vladimir Poutine a annoncé la "mobilisation partielle" des réservistes de son armée. Aussi, le président de la Fédération de Russie a précisé être prêt à utiliser "tous les moyens" faisant une référence explicite à l'usage de l'arme nucléaire. Faut-il avoir peur du chantage nucléaire de Vladimir Poutine ? Nicolas Tenzer, enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions internationales et Boris Loumagne, reporter à franceinfo sont dans Le Talk pour en discuter. Manon Mella reçoit également Lova Rajaoarinelina, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique. "Ce n'est pas du bluff" Face aux succès de la contre-offensive ukrainienne, un vent de panique souffle sur Moscou. Vladimir Poutine a annoncé mercredi 21 septembre une "mobilisation partielle" qui concernerait près de 300 000 réservistes russes. Cette annonce rencontre une forte opposition en Russie et les manifestations contre la guerre se multiplient. Par ailleurs, de plus en plus isolé, Vladimir Poutine brandit la menace nucléaire déclarant, à la fin de son allocution : "Ce n'est pas du bluff ! " Cependant, ni Volodymyr Zelensky, ni les dirigeants occidentaux ne semblent impressionnés par la menace du Président russe. Alors, bluff ou pas bluff ? Rejoignez-nous dès 18 heures du lundi au vendredi sur la chaîne Twitch de franceinfo pour participer au Talk de Manon Mella. Une heure d'échange, d'éclairage, de débat autour de sujets d'actualité et de société.