#TousFactCheckeurs : une photo n'est pas une preuve
Les médias ont le devoir d'informer mais aussi d'aider leurs lecteurs, leurs auditeurs ou leurs spectateurs à mieux s'informer. C'est pourquoi France Télévisions, "Le Monde" et Rue89 Mooc ont décidé de lancer l'opération "Tous FactCheckeurs".
Il fut un temps, déjà bien lointain, où manipuler une image était l’apanage des graphistes, faussaires et autres professionnels aguerris. Mais aujourd’hui, internet offre une multitude d'outils aux truquistes en tout genre.
Plus inquiétant encore : le potentiel de viralité de ces contenus trompeurs, qui continuent parfois de circuler après que leur caractère fallacieux ait été révélé.
Des outils faciles à appréhender
Il convient donc de se saisir à notre tour des nouveaux outils (moteurs de recherche inversés, sites consacrés à la chasse aux fakes…) pour éviter la propagation de fausses nouvelles. En gardant bien à l’esprit qu’une image peut dire tout et son contraire, selon le contexte dans lequel elle est utilisée.
Et parce que même les journalistes les plus expérimentés se laissent parfois piéger, nous avons demandé à des journalistes de France Télévisions, du Monde et de Rue89 de témoigner et de présenter les outils qu'ils utilisent au quotidien pour délivrer une information fiable.
Dans ce nouvel épisode, un journaliste des Décodeurs du Monde, Samuel Laurent, vous explique comment travaillent les rédactions entre faits, rumeurs et opinion.
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