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Attentats du 13-Novembre : des témoins se remémorent cette terrible nuit

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Le 13 novembre 2015 à Paris et aux abords du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), des attentats ont eu lieu, traumatisant tout un pays. Présents ce soir-là ou endeuillés, plusieurs Français ont accepté de raconter la soirée d’angoisse qu’ils ont vécue.
Attentats du 13-Novembre : des témoins se remémorent cette terrible nuit Le 13 novembre 2015 à Paris et aux abords du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), des attentats ont eu lieu, traumatisant tout un pays. Présents ce soir-là ou endeuillés, plusieurs Français ont accepté de raconter la soirée d’angoisse qu’ils ont vécue. (FRANCE 2)
Article rédigé par France 2 - C.Gillard, H.Puffeney, P.Maire, S.Lerch, G.Beaufils, Y.Moine, P.Ngankam
France Télévisions

Les attentats du 13 novembre 2015, à Paris et aux abords du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), ont traumatisé tout un pays. Présents ce soir-là ou endeuillés, plusieurs Français ont accepté de raconter la soirée d’angoisse qu’ils ont vécue. 

La France a été plongée dans l’horreur, le vendredi 13 novembre 2015, quand des attentats ont touché Paris mais aussi Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). À 21h20, un kamikaze s’est fait exploser aux abords du Stade de France. Au Bataclan, des terroristes armés ont également fait irruption dans la salle, et dans la capitale, un commando sème la mort de terrasse en terrasse. Coordinateur des secours de la Croix-Rouge française, Zakaria Mahdi a tenté de sauver le plus de personnes possible. "Le moindre garrot peut servir, peut éventuellement sauver une hémorragie", souligne-t-il.

Prendre des nouvelles de ses proches

Au moment où les Français apprennent ce qui s’est passé à Paris, nombreux sont ceux qui tentent de joindre leurs proches pour savoir s’ils vont bien. Face à l’absence de réponse, certains passent par d’autres moyens afin d’en savoir plus. C’est ce qu’a fait Stéphane Sarrade, alors à la recherche de son fils Hugo. "Il se trouve que le meilleur ami d’Hugo, Victor, son père est anesthésiste. Il a fait marcher son réseau et le samedi vers 17, 18 heures, il m’a appelé depuis Montpellier (Hérault) pour me dire : ‘voilà, on a retrouvé Hugo et ce que je vais te dire, c’est horrible’. Là, j’ai compris que c’était terminé", témoigne-t-il. Le procès de ces attentats s’ouvre mercredi 8 septembre. 

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