Replay Meurtre d'Angélique : revivez la conférence de presse du procureur de la République de Lille

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Meurtre d'Angélique : la conférence de presse du procureur de Lille
Meurtre d'Angélique : la conférence de presse du procureur de Lille Meurtre d'Angélique : la conférence de presse du procureur de Lille

Cette adolescente de 13 ans, qui avait disparu mercredi dernier, a été retrouvée morte dans la nuit de samedi à dimanche, à Quesnoy-sur-Deûle (Nord).

Ce qu'il faut savoir

Le meurtrier pésumé va être présenté au parquet dans la journée pour "séquestration de mineur de moins de 15 ans en vue de la préparation d'un crime, viol sur mineur de moins de 15 ans et meurtre sur mineur de moins de 15 ans", a informé le procureur de la République de Lille lors d'une conférence de presse, lundi 30 avril, sur l'enquête sur le meurtre d'Angélique.

Cette adolescente de 13 ans, qui avait disparu mercredi dernier, a été retrouvée morte dans la nuit de samedi à dimanche, à Quesnoy-sur-Deûle (Nord), une commune proche de Wambrechies, où elle habitait. Une autopsie a été pratiquée lundi pour connaître l'origine du décès. L'homme de 45 ans, déjà condamné pour "viol" en 1996, a avoué le meurtre de la jeune fille.

 Angélique Six habitait à Wambrechies (Nord), au nord de la métropole lilloise. Elle a disparu mercredi après-midi, après avoir laissé "un mot disant rejoindre des copines pour ensuite rentrer". Le suspect, un ancien voisin, a expliqué aux enquêteurs avoir convaincu l'adolescente de le suivre chez lui pour offrir un cadeau à ses parents.

 L'homme de 45 ans, père de deux enfants, a avoué vendredi soir le meurtre de la jeune fille. Il avait été condamné en 1996 à neuf ans de prison pour viol avec arme, attentats à la pudeur aggravés et vol avec violence. Il était inscrit au fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (Fijais).

 Le suspect "respectait globalement" les obligations liées à son fichage au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (Fijais), selon le procureur.