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00h37 : La gauche perd la Seine-et-Marne. Dans ce département, le PS ne peut se maintenir que dans sept des 23 cantons, ce qui ne lui laisse aucune chance de l'emporter au second tour. Voici notre article.
00h32 : Les consignes de Nicolas Sarkozy, qui refuse toute alliance avec le FN ou la gauche au second tour, mettent un binôme UMP dans l'embarras. Selon Nice Matin, Michel Lottier, arrivé 3e dans le canton de Contes (Alpes-Martimes), avait d'abord annoncé son retrait d'une triangulaire avec le FN et le Front de Gauche dans l'objectif de faire battre le candidat d'extrême gauche. Il a finalement décidé, plus tard dans la soirée, de se laisser "le temps de la réflexion".
00h20 : "La gauche n'existe plus" : c'est le constat que fait ce soir Gérard Grunberg, politologue spécialiste du PS interrogé par francetv info. Pour lui, on ne peut pas regrouper le score des différents partis de gauche, qui "ne souhaitent plus gouverner ensemble".
00h51 : "Philippot-pipeau". Agacée par les propos de Florian Philippot, Nathalie Kosciusko-Morizet s'est fendue de ce jeu de mots sur le plateau du Soir 3. Le vice-président du parti d'extrême droite expliquait que le "FN était le premier parti de France", estimant que l'on additionnait "des choux et des carottes" en cumulant les scores de l'UMP, de l'UDI et des divers droite.
(France 3)
00h12 : Un nouveau coup d'œil à notre carte des partis en tête dans chaque département. Le bleu marine du FN est le plus présent, devant le bleu de l'union de la droite. Attention, cela ne signifie pas que ces partis sont favoris pour le second tour.
(FRANCETV INFO)
00h11 : Si la présidente du Front national parle ce soir d'un "exploit", Nicolas Lebourg estime que "le pari de Marine Le Pen est raté" car son parti n'a pas atteint son objectif : être en tête au premier tour. Cet historien du FN décrypte les résultats frontistes pour francetv info.
00h07 : Le Nord est le seul département où se présentait un ministre de plein exercice : Patrick Kanner, chargé de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, bien parti pour remporter un quatrième mandat dans son canton de Lille. Notre journaliste Mathieu Dehlinger l'a suivi en campagne.
00h07 : Dans le Nord, la gauche est éliminée dans une vingtaine des 41 cantons du département. Elle devrait donc perdre la majorité au conseil départemental, ce qui constituerait une défaite historique et symbolique pour le PS. Plus de précisions dans notre article.
00h54 : L'abstention devrait s'élever à 49,4% à l'échelon national, selon une estimation Ipsos / Sopra Steria pour France Télévisions. Mais quel est le détail au niveau départemental ? Voici notre carte en cours d'actualisation, avec par exemple des taux de 33,89% en Lozère et 55,13% en Moselle.
(FRANCETV INFO)
23h59 : Pour la première fois depuis des lustres, les communistes n'ont pas fait alliance avec les socialistes en Corrèze. La gauche de la gauche a décidé de s'unir et de présenter des candidats dans tous les cantons. Dans une charte commune, le PCF, EELV, le Parti de gauche, Ensemble et Nouvelle Donne ont promis de maintenir leurs candidats en cas de qualification pour le second tour, ce qui pourrait être fatal au PS.
23h58 : L'élection sera disputée jusqu'au bout en Corrèze, où l'hégémonie du PS est menacée par l'UMP : la gauche est en ballottage favorable dans 9 des 19 cantons du département, si elle parvient à unir ses candidats au second tour. La droite, de son côté, a déjà remporté 4 cantons et est en position favorable dans 4 autres. Le FN ne sera présent au second tour dans aucun canton du département.
23h56 : Par ailleurs, Marion Maréchal-Le Pen estime, sur i-Télé, que le FN est "de fait le premier parti de France, puisqu'il faut une alliance UMP-UDI, c'est-à-dire de deux partis politiques, pour parvenir à comptabiliser plus de voix que le FN". Les premiers résultats du ministère de l'Intérieur confirment ce constat. Malgré tout, le FN risque d'être isolé au second tour dans de nombreux cantons et de s'incliner face à des alliances d'autres partis.
23h56 : Dans un département durement frappé par la désindustrialisation, le FN poursuit sa progression sur des terres où il avait déjà obtenu 36,42% des voix aux élections européennes, un département où Marion Maréchal-Le Pen est députée depuis 2012.
23h56 : "L'objectif est atteint" dans le Vaucluse pour Marion Maréchal-Le Pen. Le Front national est arrivé en tête dans une majorité des 17 cantons. Un département qui était clairement ciblé par le parti de Marine Le Pen.
(FRANCE 3)
23h50 : L'Essonne pourrait basculer à droite pour la première fois depuis 1998. C'est l'un des terrains les plus disputés de cette élection, comme en témoigne le combat qu'y ont livré Manuel Valls et Nicolas Sarkozy, lundi, lors de deux meetings simultanés. Le frondeur socialiste Jérôme Guedj est candidat à sa propre succession à la tête du département. La droite, elle, est emmenée par le sulfureux Georges Tron, un ancien secrétaire d'Etat renvoyé devant les assises pour une affaire de viol.
23h48 : Ils visent tous les deux la présidence du conseil départemental de l'Essonne : l'UMP George Tron et le président PS sortant Jérôme Guedj sont tous les deux en ballottage, dans les cantons de Draveil et Massy, respectivement.
00h54 : Voici un nouveau point sur ce premier tour des élections départementales :
• La droite arrive largement en tête (36,4%), loin devant le PS et ses alliés (28%) et le FN (25%), selon les estimations Ipsos / Sopra Steria. La droite et le FN progressent par rapport à 2011, la gauche recule. 196 candidats - soit 98 binômes - de droite, 50 de gauche, 6 divers et 6 Front national sont élus dès le premier tour, selon le dernier bilan provisoire du ministère de l'Intérieur.
• Pour le second tour, Manuel Valls appelle "tous les républicains à faire barrage au FN". Nicolas Sarkozy promet qu'il n'y aura "aucun accord avec le FN".
• Les chiffres de l'abstention sont meilleurs qu'en 2011 : on atteint 49,4% selon Ipsos / Sopra Steria, contre 55,7% il y a quatre ans.
• Plusieurs personnalités ont déjà annoncé leur réélection dans leur canton, comme le président du PRG, Jean-Michel Baylet, l'ancien ministre UMP Patrick Devedjian et le député UMP Eric Ciotti.
23h40 : C'est le département dans lequel le FN pensait avoir le plus de chances de l'emporter : dans l'Aisne, le parti d’extrême droite serait en tête dans 16 des 21 cantons, selon la presse locale.
23h40 : Rappelons que les électeurs n'élisent plus un conseiller général, mais un binôme obligatoirement composé d'un homme et d'une femme. Cette nouveauté imposera de fait une parité hommes-femmes parfaite dans les conseils départementaux. Parmi les 4 035 conseillers généraux sortants, il y avait 82,2% d'hommes, comme vous pouvez le constater sur notre infographie.
23h32 : @JeromeS : Attention, le chiffre de 12,5% correspond au seuil nécessaire pour se qualifier au second tour. Pour l'emporter dès le premier tour, il faut avoir recueilli les suffrages d'au moins 25% des inscrits.
23h32 : On peut être élu au premier tour en recueillant 12,5 % des votes des inscrits ... Notre démocratie est bien malade.
23h27 : Comme le Premier ministre Manuel Valls en début de soirée, Martine Aubry a appelé "partout où un candidat de la droite se trouve face au Front national à voter pour le candidat de la droite".
(France 3)
23h26 : Bonsoir @Jackpot. Vous pouvez trouver dans notre moteur de recherche et sur notre carte, en page d'accueil, les résultats de tous les cantons dont les résultats définitifs ont été publiés, ce qui n'est pas encore le cas des Hauts-de-Seine.
23h25 : bonsoir avez vous les résultats du canton de meudon-chaville ? bonne soirée
23h24 : @anonyme : Oui, jusqu'en 2017. Ensuite, les parlementaires ne pourront plus être maires, adjoints, présidents ou vice-présidents d'intercommunalité, de conseil départemental, de conseil régional ou du conseil d'administration d'une société d'économie mixte locale. Ils pourront en revanche continuer à être conseillers municipaux, départementaux ou régionaux. Pour en savoir plus, cliquez ici.
23h24 : Bonsoir, le cumul des mandats est-il toujours autorisé ?
23h17 : @bermag49 : Le Lot n'est pas signalé à majorité FN ; notre carte indique juste que le FN est le parti qui arrive premier dans ce département. Certes, la gauche arrive en tête dans de nombreux cantons, mais sous différentes étiquettes : Union de la gauche, divers gauche, Parti socialiste, etc. Sur l'ensemble du département, aucune de ces étiquettes ne fait mieux que le FN. Bien entendu, cela ne signifie pas que le FN va remporter le département à l'issue du second tour. Retrouvez notre carte ici.
23h16 : Pourquoi le Lot est-il signalé à majorité FN, alors que la gauche est en tête dans quasiment tous les cantons ? merci de rectifier sur votre carte
23h06 : La gauche qui recule, la droite et l'extrême-droite qui progressent. Voici un aperçu du rapport de force au premier tour, cette année et lors de la précédente élection, en 2011.
(FRANCETV INFO)
23h03 : 196 élus - soit 98 binômes - pour la droite, 50 pour la gauche, 6 divers et 6 pour le Front national selon le dernier bilan provisoire du ministère de l'Intérieur à 22H50.
23h02 : Le président de l'UDI Jean-Cristophe Lagarde appelle à "faire barrage à l'extrême droite" au second tour. Une position en rupture avec celle de son allié l'UMP, dont le président Nicolas Sarkozy a refusé d'appeler au front républicain.
23h00 : Pas de "vague Bleu Marine", mais un "désaveu de la majorité". C'est l'analyse d'Alain Juppé, maire de Bordeaux, après le résultat du premier tour des élections départementales.
(FRANCE 2)
22h56 : En Isère, les écologistes, alliés au Parti de gauche et à Nouvelle donne, espéraient réitérer le succès d'Eric Piolle, devenu en 2014 maire de Grenoble en battant le PS et la droite. Voici notre article sur le sujet.
22h55 : Le département de l'Isère, dirigé par les socialistes depuis 2001, devrait basculer à droite. "Le département va basculer, oui", a affirmé l'actuel président du conseil général, le socialiste Alain Cottalorda, éliminé d'entrée, interrogé par Le Dauphiné Libéré.
22h52 : Le Front national est en tête des 14 des 34 départements dont les résultats définitifs ont été publiés. Des résultats à suivre sur notre carte mise à jour en direct.
22h47 : @roudoudou : Pour l'emporter dès le premier tour, il faut remporter la majorité absolue des suffrages et réunir au moins 25% des électeurs inscrits. Dans le cas d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), un second tour sera nécessaire, l'UMP n'ayant pas franchi le palier des 25%, comme l'explique le maire de la ville, André Santini.
22h47 : Pourquoi l'UMP qui a 51% à Issy-les-Moulineaux n'est-il pas directement élu ? Merci
22h42 : Jean-Christophe Cambadélis appelle les électeurs au désistement républicain "là où la gauche ne peut concourir" et il demande la réciproque.
(FRANCE 3)
22h40 : Francetv info vous propose une carte interactive des résultats publiés par le ministère de l'Intérieur, département par département. Cette carte est actualisée en temps réel. Pour l'instant, le Front national arrive en tête dans de nombreux départements.
(FRANCETV INFO)
22h39 : Le Figaro et Libération font la même analyse des résultats de l'UMP et du FN, mais n'ont pas le même point de vue sur le PS : il "décroche", pour le quotidien marqué à droite, tandis que Libération le voit "résister".


22h39 : La une de l'Humanité de demain matin est sombre : le journal communiste parle d'une lourde sanction pour "les politiques austéritaires" de l'exécutif socialiste.
00h55 : Voici un nouveau point sur ce premier tour des élections départementales :
• La droite arrive largement en tête (36,4%), loin devant le PS et ses alliés (28%) et le FN (25%), selon les estimations Ipsos / Sopra Steria. La droite et le FN progressent par rapport à 2011, la gauche recule.
• Pour le second tour, Manuel Valls appelle "tous les républicains à faire barrage au FN". Nicolas Sarkozy promet qu'il n'y aura "aucun accord avec le FN".
• Les chiffres de l'abstention sont meilleurs qu'en 2011 : on atteint 49,4% selon Ipsos / Sopra Steria, contre 55,7% il y a quatre ans.
• Plusieurs personnalités ont déjà annoncé leur réélection dans leur canton, comme le président du PRG, Jean-Michel Baylet, l'ancien ministre UMP Patrick Devedjian et le député UMP Eric Ciotti.
22h30 : Selon cette dernière estimation, le score du FN (25%) est supérieur à celui cumulé des candidats étiquetés PS ou soutenus par le PS, qui est de 24%. Le Front de Gauche recueillerait 6,5% des suffrages, Europe Ecologie-Les Verts 1,9%, et le Modem 0,8%.
22h27 : La droite en tête au niveau national (36,4%), devant le PS et ses alliés (28%) et le Front national (25%), selon la dernière estimation Ipsos / Sopra Steria.
22h22 : On connaît maintenant les résultats définitifs dans 23 départements : vous pouvez les retrouver sur notre carte des résultats, qui est mise à jour en direct.
22h22 : L'Aisne est l'un des objectifs majeurs du Front national. Le FN avait déjà remporté une victoire importante dans ce département, avec l'élection de Franck Briffaut à la mairie de Villers-Cotterêts (10 400 habitants) en 2014. Aux européennes, la liste emmenée par Marine Le Pen y a récolté 40% des suffrages. Reportage sur place.
(FRANCE 2)
22h20 : Dans l'Aisne, le FN rafle 40,41% des voix, loin devant l'union de la droite (21,61%) et l'union de la gauche (19,02%), selon des résultats partiels de L'Aisne Nouvelle. Le parti frontiste serait en tête dans 16 cantons sur 21. Voici notre article.
22h19 : "Un échec personnel très clair pour Manuel Valls", pour Laurent Wauquiez. Sur i-Télé, le secrétaire général de l'UMP a rappelé que c'était le Premier ministre qui avait fait "cette carte des départementales absurdes, c'est lui qui a voulu nationaliser ce scrutin, c'est lui qui a joué avec le feu tout au long de cette campagne".
(i-Télé)