Consommation : l’indice de réparabilité s’étend à davantage d’objets
L'indice de réparabilité, une information censée guider le consommateur, est un pictogramme complété d'une note sur 10 sur sa facilité à être réparé, déjà apposé sur les téléphones, ordinateurs et téléviseurs. À compter du vendredi 4 novembre, quatre nouveaux types d'appareils sont concernés.
L’indice de réparabilité est une note sur dix donnée à des produits électroménagers pour savoir s’il est facile ou pas de les réparer. Cette note est déterminée par la facilité de démontage de l’appareil et le prix des pièces détachées. “Pour moi, c’est une bonne chose. Cela permet de mieux expliquer la qualité d’un produit et cela permet au client d’être mieux éclairé”, explique Guy Rosenthal, gérant d’un magasin d’électroménager à Toulouse (Haute-Garonne).
On répare plus qu’avant
Cet indice est obligatoire depuis l’année dernière, notamment pour les smartphones et téléviseurs. Il s'étend vendredi 4 novembre à tous les types de lave-linge, lave-vaisselle ou encore aux aspirateurs, mais n’est pas très connu du grand public. Réparer plutôt que jeter a pourtant de plus en plus la cote. Un technicien de réparation à domicile confie que “les gens ont plus tendance à faire réparer leur matériel parce que les prix des appareils neufs ne sont plus aussi attractifs qu’avant et que les gens (...) sont partis sur l'écologie".
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.