Automobile : le succès des garages participatifs
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Inutile d'être un as de la mécanique pour entretenir soi-même sa voiture et ainsi faire baisser la facture. De plus en plus de garages participatifs voient le jour. Reportage dans la Drôme.
C'est une première pour Diane. Les mains dans le moteur, la jeune femme va elle-même remplacer les filtres de sa voiture. Une opération simple, mais impossible sans les conseils de Michel Loire, mécanicien de métier et cofondateur d'un garage associatif dans la Drôme. Ici, on vient louer un emplacement et des outils professionnels. Le mécanicien, c'est le client. Les interventions prennent plus de temps, mais au moins, on sait ce qu'on fait.
Un soulagement pour le porte-monnaie
Ouvert aux véhicules contemporains, le garage accueille aussi des voitures anciennes pour le plus grand plaisir de Michel Loire, un véritable passionné. Une manière de faire face à une demande croissante dans le secteur. Le garage associatif n'a pas vocation à remplacer ceux du réseau classique. Les travaux réalisés ici doivent être à la portée de tous. C'est un soulagement pour le porte-monnaie. Comptez une vingtaine d'euros pour une heure de location, sans les pièces. La facture pour les petits travaux d'entretien peut alors être divisée par deux, voire trois.
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