Trafic de drogue : l’art de tromper les trafiquants
Une voiture bloquée à un carrefour et soudain une explosion. Une technique utilisée par le GIGN pour interpeller le chauffeur d’un go fast, les voitures qui convoient de la drogue. L'idée est de surprendre sans être détecté, et les opérations se répètent avec des techniques dignes de l’espionnage. Ce gendarme fait le scanner d’une pierre pour pouvoir reproduire une copie parfaite pour y dissimuler une caméra. Le piège doit être parfait. Des techniques qui sont inspirées du septième art. Une fois la pierre artificielle déposée à la place du vrai rocher, les inspecteurs vont pouvoir remonter discrètement jusqu’à l’équipe de trafiquants.
Le GIGN veut reproduire n’importe quel objet du quotidien
Les petites mains du GIGN toutes aussi importantes que les gros bras ont un savoir-faire à priori très éloigné des missions de la gendarmerie. Pour une filature, une caméra va être installée dans un blouson, il faut accéder à la doublure, et défaire les coutures point par point. Les moyens peuvent suivre au plus près les opérations de surveillance, il existe un véhicule atelier. Un art du trompe l’œil qui peut paraitre sans limite. Pour faire tomber les trafiquants, le GIGN se veut capable de reproduire n’importe quel objet du quotidien.
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