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Jean-Loup Dabadie : "Je ne veux pas d’un César d’honneur"

Ecrivain, scénariste, parolier et même académicien, on doit à Jean-Loup Dabadie les textes de bons nombres de films ou de chansons (Femmes, je vous aime de Julien Clerc ou Lettres à France de Michel Polnareff).
Article rédigé par Philippe Vandel
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
  (Jean-Loup Dabadie, le 14 octobre 2015 à l'enregistrement de "Vivement Dimanche" © Maxppp)

Avec tous ses droits d’auteurs, Jean-Loup Dabadie ne veut pas s’arrêter de travailler.  "L’ancienne génération de paroliers ou musiciens arrivaient à vivre une vie avec trois chansons parce qu’on passait toujours les mêmes à la radio ou à la télé" rappelle-t-il.

Jean Loup Dabadie revient dans cet entretien sur les artistes avec qui il a travaillé : Michel Polnareff, par exemple, n’aimait pas la France et les Français à l’époque ou il travaillait avec lui. Mais un jour, il a pu lui faire chanter une chanson d’amour ou il exprime sa nostalgie pour la France. C'est le morceau "Lettre à France".

Jean-Loup Dabadie n’a jamais reçu de Césars pour les films sur lesquels il a travaillé. Il dit ne pas avoir de remords mais ce qu’il craint avant tout c’est de recevoir un jour un César d’honneur pour l’ensemble de son œuvre. Pour lui, ce prix est un pied de plus dans la tombe. 

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